Vatican II : l’apostasie de sa hiérarchie et de ses membres importants
Source: vaticancatholique.com

St. Robert Bellarmin, De Romano Pontifice : « Enfin, les saints Pères enseignent à l'unanimité que non seulement les hérétiques sont en dehors de l'Église, mais qu'ils sont aussi privé « ipso facto » de toute dignité et juridiction ecclésiastique. »
Il est important de souligner, encore une fois, l'enseignement de l'Église catholique selon lequel les évêques qui deviennent des hérétiques perdent immédiatement toute autorité et toute fonction qu'ils pouvaient posséder. Ceci est clairement illustré dans le cas de l’hérésiarque du 5e siècle, Nestorius, patriarche de Constantinople. Le jour de Noël de l'année 428 A.D., Nestorius, nia depuis sa chaire que Marie était la Mère de Dieu. Un laïc nommé Eusèbe s’y opposa et il protesta contre cette hérésie publique. Il en résulta que les catholiques de Constantinople rompirent la communion avec leur évêque Nestorius ; ils reconnaissaient que puisqu’il était hérétique public, il n'avait plus aucune autorité dans l'Église : il avait automatiquement perdu sa fonction. Ils scandaient même : « Un empereur nous avons, mais pas d’évêque. » Cette réaction fut soutenue par des conciles et des papes (comme cités ci-dessous). Notez que le pape saint Célestin disait que Nestorius n'avait aucun pouvoir d'excommunier après qu'il eut commencé à prêcher l’hérésie. Cela confirme que des évêques hérétiques perdent automatiquement (ipso facto) leurs fonctions quand ils deviennent hérétiques. Et cet enseignement sur la perte de la fonction épiscopale due à l’hérésie, s'applique précisément aux « évêques, » manifestement hérétiques, de la secte Vatican II : ils n'ont aucune autorité et sont en dehors de l'Église catholique, quoiqu'ils se trouvent dans les bâtiments et possèdent l'autorité présumée d'un diocèse.
Dom Prosper Guéranger, L’année liturgique, Le temps de la Septuagésime (St. Cyrille d’Alexandrie), pp. 339-340 : « C'est alors que Satan produisit Nestorius... intronisé dans la chaire de Constantinople... Dans l'année même de son exaltation, le jour de Noël 428, Nestorius, profitant du concours immense des fidèles rassemblés pour fêter l'enfantement de la Vierge-mère, laissa échapper du haut de la chaire épiscopale cette parole de blasphème : “Marie n'a point enfanté Dieu ; son fils n'était qu'un homme, instrument de la Divinité.” À ces mots, un frémissement d'horreur parcourut la multitude. Eusèbe, simple laïc, s’éleva pour exprimer l’indignation générale, et protesta contre cette impiété. Bientôt, une protestation plus explicite fut rédigée et diffusée au nom des membres de cette Église désolée, jetant l’anathème sur quiconque oserait dire : “Autre est le Fils unique du Père, autre celui de la vierge Marie.” Cette attitude généreuse fut la sauvegarde de Byzance, et lui valut l'éloge des papes et des conciles. Quand le pasteur se change en loup, le premier devoir du troupeau est de se défendre lui-même. » [2]
Pape St. Célestin Ier, cit. St. Robert Bellarmin : « L’autorité de Notre Siège Apostolique a déterminé que l’évêque, le clerc ou le simple chrétien qui a été déposé ou excommunié par Nestorius ou ses partisans après que ce dernier ait commencé à prêcher l’hérésie, ne seront considérés ni comme déposés ni comme excommuniés. Car celui qui a fait défection de la foi par de tels prêches, ne peut déposer ou excommunier personne. » [3]
L’ « évêque » de Buffalo (USA) se fait revêtir par le Dalaï-lama lors d’une importante cérémonie œcuménique comprenant des juifs, des musulmans et des hérétiques ; ce qui exprime son apostasie complète de la foi catholique
« La cérémonie remarquable a réuni sur une estrade le Dalaï-lama vêtu rouge et or, au côté d’un imam musulman, d’un évêque catholique, d’un pasteur baptiste et d’un rabbin juif, en plus de dix autres membres du clergé et chefs religieux de la région... Des lectures, des prières et des chants tirés de textes sacrés se sont tenus, ainsi qu'un rituel coup de gong et trois minutes de silence méditatif. » [4]
Les gens nous posent tout le temps la question : « Vous faites partie de quel diocèse ? Êtes-vous soumis à l'évêque ? » Si nous faisions partie de la secte Vatican II, nous serions en communion avec l’ « évêque » Edward U. Kmiec, le présumé « évêque » de Buffalo. Dans l'image de la page précédente, vous pouvez voir cet « évêque » Kmiec de la secte Vatican II – le chef présumé du diocèse où réside notre monastère - prendre part à une cérémonie de prière interreligieuse avec le Dalaï-lama. Étaient également présents un imam musulman, un hérétique protestant et un rabbin. C'est exactement le genre de cérémonie de prières interreligieuses que le pape Pie XI avait condamné dans Mortalium animos, disant que celles-ci constituent une apostasie de la foi catholique.
En passant, le Dalaï-lama est le chef spirituel d'une religion païenne qui conduit des âmes idolâtres en Enfer. Le Dalaï-lama renie la sainte Trinité et la divinité du Christ, et prétend être l’incarnation de Dieu. Il représente l’antéchrist. Donc, qui est en communion avec l'Église catholique ? Le pseudo évêque Kmiec ? Ou ceux qui le rejettent et qui s’accrochent à la plénitude de la foi ? Bien sûr que ce n'est pas l’ « évêque » Kmiec et sa secte d’adorateurs des fausses religions. Il est en dehors de la foi catholique et fait partie d'une religion d’apostasie. Par conséquent, nous pouvons vraiment dire avec les catholiques du passé, qui s’écriaient de façon similaire durant l'hérésie nestorienne (revoir plus haut) : « Nous n'avons pas d’évêque. » L'enseignement de saint Robert Bellarmin cité plus haut, qui explique que les hérétiques ne possèdent pas l'autorité dans l'Église, s'applique précisément à cette situation.
Remarquez aussi que l’ « évêque » Kmiec EST VÊTU de pourpre (autour de sa taille).
Apocalypse 17:4 – « La femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, parée d’or, de pierres précieuses et de perles, ayant en sa main une coupe d’or pleine de l’abomination et de l’impureté de sa fornication. »
Nous en dirons plus dans la quatrième partie du livre.
Le chef des évêques russes nous dit que la secte Vatican II n'a pas l'intention de convertir les russes schismatiques « orthodoxes »
« Il n'y a pas de prosélytisme comme directive de la part du Saint-Siège, et il n'existe aucune intention de convertir la Russie au catholicisme romain. » [5] - Igor Kovalevsky, secrétaire général de la « Conférence Novus Ordo des évêques catholiques » de Russie
Commentaire : C’est l'une des pires hérésies de la secte Vatican II, et elle détruit sa prétention à être l'Église catholique.
Des évêques Novus Ordo des Etats-Unis se joignent officiellement au Christian Churches Together in the USA (Églises chrétiennes ensemble aux États-Unis) - une communion protestante
WASHINGTON (AP) - 17/11/04: « Les évêques catholiques romains du pays ont voté ce mercredi pour rejoindre une nouvelle alliance qui deviendrait le groupe de chrétiens le plus large jamais formé aux États-Unis, unissant pour la première fois les évangélistes américains et les catholiques dans une organisation œcuménique. L'alliance, appelée Christian Churches Together in the USA, est fixée pour démarrer l'année prochaine. Elle inclurait notamment des protestants, des chrétiens orthodoxes et des églises noires et autres minorités. Comptant près de 67 millions de membres américains, l'Église catholique serait la plus représentée. » [6]
Commentaire : Partout sur internet, vous pouvez trouver des articles à propos de cet acte incroyablement hérétique des évêques des États-Unis. Les évêques Novus Ordo ont officiellement rejoint Christian Churches Together in the USA, une communion protestante qui fait partie du Conseil national des Églises. Cet acte est sans nul doute à mettre au même niveau que l’incroyable Déclaration commune avec les luthériens sur la justification, et les actions répétées des « papes » Vatican II répudiant le prosélytisme à l’encontre des schismatiques orientaux.
Avec cet accord, l'Église Novus Ordo aux États-Unis répudia officiellement toute prétention à être la seule véritable Église de Jésus-Christ, admettant n’être qu’une confession parmi de nombreuses confessions hérétiques. Elle reconnut aussi de façon officielle que les sectes protestantes et schismatiques qui appartiennent au Christian Churches Together in the USA font partie de la véritable Église de Jésus-Christ. Si les évêques Novus Ordo ne reconnaissaient pas officiellement ces sectes et confessions hérétiques (non-catholiques) comme des membres de l'Église chrétienne, ils n'auraient jamais adhéré à ce groupe hérétique.
Voici la profession de foi du Conseil national des Églises, dont fait partie Christian Churches Together in the USA :
Déclaration de foi : « Le Conseil national des Églises est une communauté de communions chrétiennes qui, en réponse à l'Évangile révélé dans les Écritures, confesse Jésus-Christ, le Verbe incarné de Dieu, comme Sauveur et Seigneur. Ces communions s’allient entre elles pour manifester de plus en plus pleinement l'unité de l'Église. S'appuyant sur la puissance transformatrice de l'Esprit-Saint, les communions se rassemblent en tant que Concile dans une mission commune, servant toute la création pour la gloire de Dieu. » - Tiré du Préambule de la Constitution NCC.
Cela veut dire que les membres du Conseil national des Églises partagent une communion, en alliance avec toutes les autres confessions, et qui reconnaît que toutes les autres confessions manifestent l'unité de l'Église. C’est totalement hérétique.
Le nouvel évêque de Jérusalem nommé par Jean-Paul II dit que l'Église catholique n'a pas l'intention de convertir les juifs au christianisme !
Journal Israel Today ; 22 jan. 2004 : « LE NOUVEL ÉVÊQUE DE JÉRUSALEM EST JUIF - Pour la première fois depuis que l'apôtre Jacques servit comme évêque de Jérusalem, la ville sainte a un évêque juif ! L’abbé bénédictin Jean-Baptiste Gourion a été ordonné nouvel évêque de l'église catholique à Kiryat Ye'arim, au-dessus du village arabe israélien d'Abou Ghosh, près de Jérusalem. Mgr Gourion sera responsable de la communauté d'expression hébraïque catholique en Israël, dont beaucoup sont d'origine juive... Expliquant comment, en tant que juif, il est devenu catholique, il [l'évêque Gourion] nous a dit : “Pour moi, le christianisme et le judaïsme sont pareils. Je n'ai pas eu besoin de quitter le judaïsme pour en venir au christianisme. Le juif et le chrétien forment le même corps.” En tant que tel, il indique clairement qu'il ne s'engagera pas dans des activités “missionnaires”... »
Après son ordination, le rédacteur en chef d’Israel Today, Aviel Schneider, s’entretint avec le nouvel évêque.
Israel Today : Félicitations, Mgr Gourion ... Comment votre famille a-t-elle réagi à votre nouveau titre épiscopal ?
Évêque Gourion : J'ai une relation très étroite avec mes trois frères et sœurs, qui ont assisté à mon ordination à Jérusalem et m’ont donné la bénédiction de Dieu. Dans l'ensemble, je pense que ma nomination par l'Église catholique annonce une nouvelle ère entre juifs et chrétiens catholiques. Nous devons apprendre à mieux nous comprendre mutuellement. L’Église catholique n'a pas l'intention de convertir les juifs au christianisme. Par conséquent, le pape a préconisé un évêque juif en Israël...
Israel Today : ... le Vatican était réticent à reconnaître l'État juif, n’établissant des liens diplomatiques avec Israël que 10 ans en arrière. L’une des raisons est que l'Église catholique se considère comme le peuple élu de Dieu.
Évêque Gourion : Eh bien, il y a 40 ans, au second concile du Vatican, l'Église adoptait une nouvelle position théologique envers Israël comme étant le peuple élu de Dieu. L'Église catholique ne remplace pas le peuple juif avec qui Dieu fit une alliance éternelle...
Israel Today : Vous vous considérez toujours comme faisant partie du peuple juif ?
Évêque Gourion : Bien sûr. Je me considère comme juif. »
Commentaire : En 2004, l’ « évêque » Gourion fut nommé nouvel évêque auxiliaire de Jérusalem par Jean-Paul II. Dans l’entrevue, Gourion dit que Jean-Paul II l’a spécifiquement nommé à Jérusalem du fait de son identité et de sa croyance. Eh bien, le « nouvel évêque » Gourion dit qu'il est « juif, » et que son « Église » (la secte Vatican II) « n'a pas l'intention de convertir les juifs au christianisme » ; que l'alliance juive avec Dieu est toujours valide et n'est pas remplacée par l'Église catholique ; que le corps du Christ (l'Église catholique) et le judaïsme forment un seul corps.
Est-ce que les partisans de l’antipape François vont nous dire que l' « évêque » Gourion est catholique ? Est-ce que l’ « évêque » Gourion est un évêque dans leur « Église » avec lequel les catholiques doivent partager leur foi et la communion ? Oui ou non?
Pape Pie XII, Mystici Corporis Christi ; 29 juin 1943 : « Par conséquent, comme dans l'assemblée véritable des fidèles il n'y a qu'un seul Corps, un seul Esprit, un seul Seigneur et un seul Baptême, ainsi ne peut-il y avoir qu'une seule foi, et celui qui refuse d'écouter l'Église doit être considéré, d'après l'ordre du Seigneur, comme un païen et un publicain. Et ceux qui sont divisés pour des raisons de foi ou de gouvernement ne peuvent vivre dans ce même Corps, ni par conséquent de ce même Esprit divin. » [7]
Persister à dire que Gourion est catholique après avoir lu cette information (c.-à-d. qu'il est dans votre Église), est un péché mortel contre la foi et un déni de Jésus-Christ. Mais ceux qui croient que François est le pape, doivent dire que l'évêque Gourion est leur compatriote catholique, qu’il a la même foi et qu’il se trouve dans la même Église (corps) - comme nous pouvons le voir ci-dessus - parce que tous dans l'Église ont la même foi (de fide). Mais s’ils affirment, avec raison, que Gourion est un apostat se trouvant hors de l'Église catholique et qui n'a pas d’autorité, alors ils doivent admettre la même chose pour Benoît XVI par exemple qui, comme déjà vu, croit à la même apostasie concernant les juifs.
Le « cardinal archevêque » de Jean-Paul II à Washington DC, confirme le rejet du prosélytisme (convertir les autres) de la part de Jean-Paul II
« Card. archevêque » Theodore McCarrick, Entretien avec le National Catholic Register concernant son voyage à Moscou pour rendre aux schismatiques l'icône de Notre-Dame de Kazan ; sep. 2004 : « Question : Qu'avez-vous observé des relations entre orthodoxes et catholiques romains ?
Card. archevêque McCarrick : « Je pense que nos frères et sœurs orthodoxes peuvent toujours se sentir menacés par l'Église catholique romaine... Il y aura toujours dans les communautés certaines personnes qui se sentiront troublées par d'autres communautés religieuses, craignant peut-être qu'elles fassent du prosélytisme [essayer de les convertir]. JE PENSE QUE LE SAINT-PÈRE A VRAIMENT ÉTÉ CLAIR LÀ-DESSUS : SON RÔLE N’EST PAS DE FAIRE DU PROSÉLYTISME ; JAMAIS. Son rôle est de trouver la clé de l'unité. » [8]
Commentaire : Ici, nous voyons que le « chef » de la secte Novus Ordo à Washington DC, aux États-Unis, un soi-disant « cardinal, » admet carrément que Jean-Paul II « a vraiment été clair là-dessus : son rôle n’a jamais été de faire du prosélytisme » ! Faire du prosélytisme, c’est convertir les gens. Si vous vivez à Washington, DC et croyez que Jean-Paul II est le pape, alors vous devriez admettre que cet archi-apostat Theodore McCarrick est réellement le chef de l'Église catholique dans votre région.
L’ « archevêque » de Strasbourg admet que la secte Vatican II a abandonné l'enseignement catholique sur les juifs !
Archevêque Joseph Doré de Strasbourg, France, discours au B'nai B'rith (francs-maçons juifs), août 2003 : « Quoi qu'il en soit de cette représentation [des juifs dans l’art catholique traditionnel]... le message théologique reste le même : “c'est maintenant au peuple chrétien qu'est passée l'élection ; et l'Église, véritable Israël, triomphe, elle qui confesse la vérité du salut apportée par le Christ.” Au Concile Vatican II, l'Église catholique a enfin révisé cet enseignement et compris combien il contredisait la Bible elle-même... L'épiscopat français, en particulier sous l'impulsion de Mgr Elchinger, [ancien] évêque de Strasbourg, publiait en 1973 un document sur les relations judéo-chrétiennes d'une force encore inégalée, tandis que Jean-Paul II rappelait à maintes occasions la pérennité de la Première Alliance [Ancienne Alliance], “qui ne fut jamais révoquée” par Dieu (Mayence, 1980, etc.).
Aujourd'hui, c'est à la réconciliation et au dialogue fraternel que nous voulons œuvrer avec nos frères aînés. Mais nous devons avoir l'humilité de reconnaître que l'enseignement du mépris et la “théologie de la substitution” faisant de l'Église le Nouvel et unique Israël de Dieu imprègnent encore bien des esprits. Seul un long travail d'éducation parviendra à en extirper tout germe d'antijudaïsme. Seule une continuelle purification de la mémoire, les rendant conscients des tentations qui les habitent, ouvrira les chrétiens à la vigilance et à la responsabilité. À eux aussi est adressée cette parole par laquelle Dieu interpella Caïn : “Qu'as-tu fait de ton frère ?” L'Église appelle aujourd'hui les chrétiens à s'engager sur ce chemin de conversion, les invitant à construire avec leurs frères juifs un avenir où, ensemble, ils pourront être “une bénédiction les uns pour les autres” (Jean-Paul II, 1993). » [9]
Commentaire : C’est de l’apostasie ! C’est un mépris et un rejet total du dogme qu’on a cité tout au long de ce livre, qui déclare que l'Ancienne Alliance a cessé avec la venue du Christ et a été remplacée par la nouvelle et éternelle Alliance de Jésus-Christ.
Remarquez comment l’exécrable apostat, « archevêque » Doré, fait référence au discours de Jean-Paul II en 1980 (et à d'autres déclarations de Jean-Paul II) pour tenter de justifier son apostasie. Notez comment il se réfère à l'Ancienne Alliance en disant « Première Alliance, » et pas « l’Ancienne » Alliance, parce que « ancienne » implique qu’elle n'est plus en vigueur. Il affirme également que « nous devons avoir l'humilité » d'abandonner le dogme catholique selon lequel l'Ancienne Alliance a cessé. De plus, il dit qu'il faudra « un grand travail » pour extirper (à la racine) cette vérité dogmatique des pensées catholiques. Voilà l’ « archevêque » de la secte Vatican II à Strasbourg, en France, qui ne fait que suivre l'enseignement des antipapes Vatican II. Encore une fois, ce n'est rien d'autre que la secte de contrefaçon catholique, celle de l'Antéchrist.
1 Jean 2:22 – « Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l’Antéchrist, qui nie le Père et le Fils. »
Les évêques Novus Ordo répudient carrément le second concile dogmatique de Lyon et le concile de Florence !
« Déclaration convenue par la Consultation théologique orthodoxe-catholique d’Amérique du Nord du Collège St Paul, Washington DC ; 25 oct. 2003 (évêques catholiques des États-Unis - Secrétariat des affaires interreligieuses) :
IV. Recommandations - « Nous sommes conscients que le problème de la théologie du Filioque... Bien que le dialogue entre un certain nombre de ces Églises et la communion orthodoxe a déjà abordé la question, toute résolution future du désaccord entre Orient et Occident sur l'origine de l'Esprit doit impliquer toutes les communautés qui professent le Credo de 381 comme norme de foi. Conscient de ses limites, notre Consultation formule néanmoins ci-après les recommandations théologiques et pratiques aux membres et évêques de nos Églises respectives...
- qu’à l'avenir, de part les progrès dans la compréhension mutuelle survenus depuis les dernières décennies, orthodoxes et catholiques s'abstiennent d'étiqueter comme hérétiques les traditions de l'autre parti sur le thème de la procession du Saint-Esprit...
- que l'Église catholique, en conséquence de la valeur dogmatique, normative et irrévocable du Credo de 381, n’utilise que le texte original grec, pour faire des traductions de ce Credo à usage catéchétique et liturgique.
- que l'Église catholique, à la suite d'un consensus théologique grandissant, et notamment dans les déclarations faites par le Pape Paul VI, DÉCLARE QUE LA CONDAMNATION FAITE PAR LE SECOND CONCILE DE LYON (1274) DE CEUX “QUI ONT L'AUDACE DE NIER QUE LE SAINT-ESPRIT PROCÈDE ÉTERNELLEMENT DU PÈRE ET DU FILS” N'EST PLUS APPLICABLE.
« Nous offrons à nos Églises ces recommandations dans la conviction, fondée sur notre étude et nos propres recherches et échanges intensifs, que nos différentes manières de comprendre la procession du Saint-Esprit dans nos traditions, n'ont plus besoin de nous diviser. » [10]
Commentaire : C’est une incroyable hérésie ; mais faisons d'abord un petit retour en arrière. C'est un dogme défini de l'Église catholique que Dieu le Saint-Esprit procède éternellement du Père et du Fils.
Pape Grégoire X, Concile Lyon II ; 1274, ex-cathedra : « Nous professons avec fidélité et dévotion que le Saint-Esprit procède éternellement du Père et du Fils, non pas comme de deux principes, mais comme d'un seul principe... C'est ce que la sainte Église romaine, mère et maîtresse de tous les fidèles, a jusqu'à maintenant professé, prêché et enseigné ; c'est ce qu'elle tient fermement, prêche, professe et enseigne... Mais parce que certains, en raison d'une ignorance de la vérité irréfutable affirmée plus haut, sont tombés dans diverses erreurs, nous-mêmes désireux de fermer la route à des erreurs de ce genre, avec l'approbation du saint concile, nous condamnons et réprouvons tous ceux qui oseraient nier que le Saint-Esprit procède éternellement du Père et du Fils, ou qui même, dans une audace téméraire, iraient jusqu'à affirmer que le Saint-Esprit procède du Père et du Fils comme de deux principes et non comme d'un seul. » [11]
Les schismatiques orientaux (les soi-disant « orthodoxes ») rejettent ce dogme. Ils ne croient pas que le Saint-Esprit procède du Père, et ne croient pas que le Saint-Esprit procède du Père et du Fils (Filioque). Alors, qu'est-ce que les évêques de la secte Vatican II font dans leur dialogue avec ces « orthodoxes, » schismatiques ? Dans leur dialogue avec ces schismatiques et hérétiques, ils publièrent la déclaration ci-dessus, montrée sur le site officiel des évêques des États-Unis, en union avec Benoît XVI. Cette déclaration, comme nous pouvons le voir ci-dessus, affirme sans détours que la définition dogmatique du concile de Lyon - qui déclara que le Saint-Esprit procède du Père et du Fils (Filioque) - n'est plus applicable ! Rien ne pourrait être plus formellement hérétique !
Les évêques des États-Unis, en union avec Jean-Paul II (et maintenant François) déclarèrent que l'engagement solennel, prononcé ex cathedra par un pape lors d’un concile œcuménique de l'Église catholique, ne s'applique plus !
Les évêques américains de la secte Vatican II recommandèrent aussi que la version actuelle du Credo de Nicée-Constantinople (récitée chaque dimanche à la Messe), qui déclare que le Saint-Esprit procède du Père et du Fils (Filioque), fût abandonnée de tout usage catéchétique et liturgique (voir ci-dessus) - et que seul le credo original de l’an 381, qui déclarait uniquement que le Saint-Esprit procède du Père, soit utilisé. Pour ceux qui ne le savent pas, l'Église catholique ajouta légalement le terme « et du Fils » dans le Credo de Nicée-Constantinople.
Pape Eugène IV, Concile de Florence, Laetentur coeli ; 6 juil. 1439, ex cathedra : « Donc au nom de la sainte Trinité, du Père, du Fils et du Saint-Esprit, avec l'approbation de ce saint concile universel de Florence, nous définissons cette vérité de foi afin qu'elle soit crue et reçue par tous les chrétiens, et qu'ainsi tous le professent : que le Saint-Esprit est éternellement du Père et du Fils... Nous définissons de plus l'explication contenue dans ces mots “et du Fils” a été ajoutée au symbole de façon licite et raisonnable afin d'éclairer la vérité et par une nécessité alors pressante. » [12]
En déclarant que le dogme du Filioque (« et du Fils ») n'est pas obligatoire et ne s'applique plus, les évêques Novus Ordo répudient en un seul coup deux conciles dogmatiques de l'Église catholique (Lyon II et Florence).
La Commission du Vatican sous Jean-Paul II nie à nouveau le fait d’essayer de convertir les juifs !
Rencontre conjointe juif–« catholique. » Communiqué conjoint de la rencontre de Grottaferrata (Italie) entre les délégations de la Commission du Saint-Siège pour les Rapports religieux avec le judaïsme et le Grand Rabbinat d'Israël : « 3. La Commission bilatérale [des juifs et « catholiques »] a réaffirmé son engagement à l'égard des déclarations fondamentales issues des rencontres précédentes, qui incluaient l'appel au respect mutuel de nos diverses identités religieuses, et a affirmé le refus commun de toute tentative visant à convaincre une personne à rejeter son héritage... 7. En tant que croyants au Dieu unique qui porte le nom de Paix, nous Lui avons offert nos prières afin que soit mis un terme à la guerre... » [13]
Commentaire : Cette déclaration conjointe avec des rabbins parut dans le journal officiel du Vatican parce que c’était un acte d’une commission officielle du Vatican. La déclaration conjointe fut signée par cinq rabbins différents, deux « cardinaux, » deux évêques, deux prélats, un « archevêque » et un prêtre, y compris le « cardinal » Jorge Mejia, président de la délégation « catholique » du Vatican. Permettez-nous de dire les choses crûment : c'est antéchrist. « La Commission bilatérale [des juifs et « catholiques »]... a affirmé le refus commun de toute tentative visant à convaincre une personne à rejeter son héritage. » Cela signifie que la commission du Vatican rejette toute tentative visant à persuader les juifs de se convertir à Jésus-Christ et à la foi catholique. Certains se demandent quand se réalisera la prophétie suivante de Notre-Dame de La Salette :
Notre-Dame de La Salette ; 19 sep. 1846 : « Rome perdra la foi et deviendra le siège de l'Antéchrist... l'Église sera éclipsée. »
Elle s’est réalisée. La déclaration de cette commission du Vatican est parfaitement en ligne avec l'enseignement de Jean-Paul II, de Benoît XVI et de François sur les juifs, comme nous l’avons déjà vu.
Des hindous adorent le Diable dans le Sanctuaire de Notre-Dame de Fatima
Frontpage Online, journal portugais en anglais ; 22 mai 2004 : « ... nous pouvons cependant rapporter qu'une première étape vient d'être franchie, dans ce processus d'ouverture de Fátima, en tant que centre ouvert à toutes les religions. Le 5 mai 2004... Notícias a réalisé un reportage sur une cérémonie religieuse Hindoue qui s'est déroulée dans la Chapelle des Apparitions, à l'intérieur du sanctuaire de Fátima... Soixante Hindous, menés par un grand prêtre, sont venus de Lisbonne rendre hommage à la déesse Devi, la divinité de la nature. Le reporter de la SIC a décrit de quelle manière les hindous, avant de quitter Lisbonne, s'étaient réunis dans leur temple, afin de prier et d'adorer les statues de certains de dieux hindous. Arrivés à Fátima, les pèlerins se sont rendus à la chapelle des apparitions où le prêtre Hindou, installé devant l'autel, conduisait la réunion de prière. Un commentaire de la cérémonie fut donné par le reporter de la télévision ; celui-ci explique : “Il s'agit d'un moment historique sans précédent dans l'histoire du sanctuaire de Fátima. Le prêtre hindou, Sha Tri, a prononcé devant l'autel la Shaniti Pa, la prière hindoue pour la paix.” On aperçoit les hindous retirant leurs chaussures avant de s'approcher de la balustrade placée devant l'autel, pendant que le prêtre situé devant l'autel récitait ses prières hindoues... Après avoir adoré leurs dieux et récité leurs prières dans la chapelle, les hindous sont escortés dans une salle d'expositions, où se trouve la maquette de la nouvelle basilique controversée, actuellement en cours de construction.
Selon le commentateur, c’est dans un cadre ambassadorial que chaque hindou était ensuite accueilli et salué personnellement par l'évêque de Leiria-Fátima, qui s’inclinait devant le prêtre hindou en répétant le geste de bienvenue de ce dernier. On voit ensuite le prêtre mettre un châle de prière hindou sur les épaules du recteur du Sanctuaire, et sur celles de l'évêque de Leiria-Fátima. Le reporter dit à son audience : “Sur les épaules des plus hauts représentants de l'Église catholique de Fátima, le prêtre hindou place un châle où sont inscrits des versets de la Bhagavad Gita, l'un des livres sacrés de l'Hindouisme.” L'émission se termine par des séquences où le prêtre hindou allume un cierge dans le sanctuaire, tandis que ses disciples hindous dansent devant la chapelle des apparitions, chantant des louanges à leurs dieux. »
Commentaire : Et voilà... Un culte païen, idolâtre, démoniaque, se déroula dans la chapelle construite à l'endroit même où Notre-Dame de Fatima était apparue. Ceci se produisit avec la pleine approbation du recteur du sanctuaire, Mgr Guerra, avec la pleine approbation de l'évêque de Leiria-Fatima, et avec la pleine approbation de la tête du Conseil pontifical pour le Dialogue Interreligieux, l’ « archevêque » Michael Fitzgerald. Mais comment peuvent-il faire une chose pareille ? Eh bien s’ils peuvent le faire, c’est parce qu'ils l’avaient appris de Benoît XVI, de Jean-Paul II, de Paul VI et de Vatican II, comme nous l’avons montré.
Cette dernière abomination montre aussi à quel point les hérétiques qui tentent d'expliquer tout ceci sont induits en erreur et trompés. Lors d’une émission diffusée sur la chaîne d’informations soi-disant catholiques, EWTN, un 25 avril, le père Mitch Pacwa et le père Robert Fox discutaient des rumeurs selon lesquelles le sanctuaire de Fatima était abandonné à des religions non-catholiques. Le père Robert Fox assurait à l'auditoire que l'idée n’était qu’une « invention » ; que rien de tel ne se passait ni se ferait ! Mais bien sûr, c'est une invention... et maintenant on voit ces idolâtres hindous à Fatima perpétrant leurs rites sataniques dans la chapelle des apparitions. Combien de temps encore les gens écouteront-ils ces hérétiques qui conduisent les âmes en Enfer ?
Pape Léon XIII, Ad extremas ; 24 juin 1893 : « Le premier souvenir qui Nous émeut est celui de l’apôtre saint Thomas, qu’on regarde, avec raison, comme ayant promulgué dans les Indes la loi de l’Évangile ; saint François-Xavier travailla longtemps après dans le même but... arrivant à convertir à la vraie religion et à la foi des centaines de milliers d’Indiens qu’il arracha à l’impure superstition des Brahmes. Sur les traces de ce saint apôtre, un grand nombre de prêtres... marchent encore aujourd’hui avec un zèle admirable pour garder et étendre cette foi chrétienne... Et cependant, dans ces vastes contrées, quelle multitude éloignée encore de la vérité, enveloppée des ténèbres d’une déplorable superstition ! » [14]
St. François-Xavier ; 18 sep. 1542 : « ... je finis par lui dire que Dieu, qui certes est très fidèle en ses promesses, a une égale horreur et des infidèles et de leurs prières, qu’il ne veut pas permettre la propagation d’un culte détestable à ses yeux. » [15]
St. François Xavier ; 1542 : « Au cours de ce voyage, je suis arrivé dans un village de Gentils [païens]... Dans ce village se trouvait une femme en proie aux douleurs de l’enfantement depuis trois jours, et beaucoup désespéraient de sa vie. Comme les invocations des Gentils déplaisent à Dieu, parce que tous les dieux des Nations sont des démons [Psa. 95:5 ; 1 Cor.10:20], leurs demandes n’étaient ni entendues ni vues dans le regard du Seigneur. » [16]
Apocalypse 18:2 - « Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, une prison pour tout esprit immonde, une prison pour tout oiseau immonde et détestable, ainsi qu’une prison pour toute bête immonde. Parce que toutes les nations ont bu du vin de la colère de sa prostitution... J’entendis une autre voix du ciel, qui dit : Sortez de Babylone, mon peuple, de peur que vous n’ayez part à ses péchés, et que vous ne receviez de ses plaies ; Parce que ses péchés sont parvenus jusqu’au ciel, et que Dieu s’est souvenu de ses iniquités. »
La secte Vatican II commémore le « martyre » mennonite
Mgr John A. Rodano, Conseil du Vatican pour la promotion de l'unité des chrétiens, mars 2004 : « Un dialogue international entre l’Église catholique et la Conférence mennonite mondiale s’est déroulé de 1998 à 2003... Le chapitre III , “Vers une guérison des mémoires”, avait été écrit en vue des souvenirs amers du passé et spécialement, du point de vue mennonite, le souvenir de la persécution et du martyre du XVIème siècle, et ceci par rapport à notre isolation réciproque depuis lors.
Il indique quatre composantes qui, nous l’espérons, peuvent contribuer à promouvoir la guérison des mémoires entre mennonites et catholiques... Dans une déclaration commune, catholiques et mennonites regrettent ensemble qu'eux et d'autres chrétiens n’aient “pas su résoudre les problèmes de l’Église de leur temps de manière à prévenir les divisions dans le corps du Christ, qui ont duré jusqu’à nos jours.” » [17]
Commentaire : Début mars 2004, la secte Vatican II marchait dans les pas de Jean-Paul II en commémorant le pasteur luthérien, Paul Schneider. Vers la fin mars de la même année, la secte Vatican II commémorait le « martyre » mennonite. On se rend compte que la secte Vatican II nous sort une hérésie formelle chaque semaine ! La secte Vatican II peut-elle nier le dogme Hors de l'Église pas de salut de façon encore plus claire ou constante ? Quel genre de « catholique » pourrait affirmer être en communion avec une telle « hiérarchie » tout en étant conscient de ces faits ?
La déclaration commune ci-dessus présente les divisions entre catholiques et mennonites (en d'autres termes, les hérésies des mennonites) comme des « problèmes de l'Église de leur temps, » pour lesquels les deux partis étaient apparemment à blâmer. En d'autres termes, les mennonites ne sont pas coupables d'hérésie pour avoir quitté le Corps du Christ et suivi leur religion inventée !
Des « saints » et « martyrs » non-catholiques commémorés par la secte Vatican II, suivant l’enseignement de Jean-Paul II
P. Matthias Turk, Conseil du Vatican pour la promotion de l'unité des chrétiens ; mars 2004 : « Parmi les événements les plus significatifs, se trouve la touchante célébration œcuménique du 1er Février 2003, organisée par la Communauté de Sant'Egidio, dans la Basilique Saint-Barthélemy de Rome, pour y commémorer le Pasteur luthérien Paul Schneider, tué au camp de concentration de Buchenwald. Parmi ceux qui assistèrent à cette occasion, figurait le cardinal Walter Kasper... et d'autres représentants œcuméniques de paroisses romaines. Ce témoignage, comme l’avait dit le Saint-Père, “est plus fort que les choses qui nous divisent.” » [18]
Commentaire : Nous voyons ici le Conseil du Vatican pour la promotion de l'unité des chrétiens en train de commémorer comme martyr de la foi un hérétique luthérien. C'est hérésie formelle contre le concile de Florence. Consultez les chapitres précédents de ce livre qui prouvent que Jean-Paul II enseignait à répétitions qu'il y a des saints en dehors de l'Église.
Pape Eugène IV, Concile de Florence, « Cantate Domino, » S. 11 ; 4 fév. 1441, ex cathedra : « ... personne ne peut être sauvé, si grandes que soient ses aumônes, même s'il verse son sang pour le nom du Christ, s'il n'est pas demeuré dans le sein et dans l'unité de l'Église catholique. » [19]
Pape Pélage II, Lettre Dilectionis vestrae ; 585 A.D. : « Ils ne peuvent pas demeurer avec Dieu, ceux qui n'ont pas voulu vivre de façon unanime dans l'Église de Dieu ; et même s'ils brûlent dans les flammes, s'ils exposent leur vie au bûcher et aux bêtes, ils n'obtiendront pas la couronne de la foi, mais le châtiment de leur mauvaise foi, ni la gloire finale, mais la mort du désespoir. Un tel homme peut être mis à mort, il ne peut recevoir la couronne... » [20]
La secte Vatican II loue et célèbre John Wesley,le fondateur de la secte méthodiste
P. Donald Bolen, Conseil du Vatican pour la promotion de l'unité des chrétiens ; fév. 2004 :
« 2003 fut une année chargée en événement pour ce qui est des relations entre l'Église catholique et le Conseil méthodiste mondial... En juin 2003, les méthodistes du monde entier célébraient le tricentenaire de la naissance de John Wesley, et avec de petits moyens, quoique significatifs, invitaient l'Église catholique à se joindre à ces célébrations... Lors d’une célébration méthodiste du tricentenaire de la naissance de John Wesley, le Président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des Chrétiens, le Cardinal Walter Kasper, prêchait dans l'église méthodiste de Rome. Plus tard dans l'année, il envoya un message pour une célébration marquant les anniversaires de la naissance de Wesley et celle de la Chapelle de Wesley ouverte à Londres il y a 225 ans.
« Le cardinal Kasper fit usage de l’opportunité octroyée en ces occasions pour contribuer à une réévaluation catholique de John Wesley, particulièrement attentif à “son engagement sans réserve pour diffuser les bonnes nouvelles du salut, sa promotion de la sainteté scripturaire et la structuration des communautés de chrétiens pour le témoignage et la mission.”
« Le cardinal Kasper notait que “Nous devons élargir notre vue, pour voir ce qui dynamisait le ministère de Wesley, pour voir la passion évangélique qui donnait des directives à sa vie et au mouvement qu'il a commencé. Kasper soulignait que cette réévaluation de Wesley, “riche en possibilités”, était possible parce que les catholiques pouvaient maintenant regarder Wesley à travers des yeux éduqués par notre dialogue international et par l'émergence de l'amitié et de la mission partagée dans divers contextes locaux partout dans le monde, où “nous avons appris à nous reconnaître les uns les autres comme des frères et sœurs en Jésus-Christ.”
« S’adressant à la congrégation de méthodistes, le cardinal Kasper nota que, tout comme les Méthodistes “continuent de se tourner vers le ministère de John Wesley pour l'inspiration et l'orientation, nous pouvons regarder pour voir et trouver en lui le zèle évangélique, la poursuite de la sainteté, la préoccupation pour le pauvre, les vertus et la bonté que nous avons appris à connaître et à respecter en vous.” L’homélie et le message du cardinal Kasper furent chaleureusement accueillis et très appréciés. » [21]
Commentaire : John Wesley était un hérétique non-catholique, le fondateur de sa propre religion. Il avait débuté comme anglican, et par la suite créé le méthodisme. Wesley rejetait la papauté ; il niait la plupart des conciles dogmatiques de l'Église catholique ; il niait la succession apostolique; il niait tous sauf deux des sept sacrements, n’admettant que le Baptême et l'Eucharistie, mais rejetant que le Baptême confère la grâce sanctifiante et niant que Notre-Seigneur soit réellement présent dans l'Eucharistie. Il niait le Purgatoire, et avait conclu que l'homme n’est justifié que par la foi seule et est ainsi assuré de son salut. Donc en quoi est-ce un « engagement sans réserve pour diffuser les bonnes nouvelles du salut » ? En quoi cela favorise-t-il « la sainteté scripturaire et la structuration des communautés de chrétiens » ? En quoi est-ce un « zèle évangélique, la poursuite de la sainteté... les vertus et la bonté que nous avons appris à connaître et à respecter en vous » ?
Eh oui... l'hérésie, le schisme et la diffusion de fausses doctrines de la pire espèce - y compris la doctrine protestante diabolique du salut par la foi seule - sont des « vertus » que la secte Vatican II veut apprendre à connaître et respecter en tous.
L'article appelle aussi les méthodistes à proclamer la Déclaration commune avec les luthériens sur la Justification, qui rejette totalement le concile de Trente.
Pas de paroles de consécration, Pas de soucis. Le Vatican, avec l'approbation de Jean-Paul II et de Benoît XVI, approuve comme valide une pseudo Messe qui n'a pas de paroles de consécration !
Commentaire préliminaire : Ce qui suit est extrait d'un document publié par le Vatican, et approuvé par le « cardinal » Ratzinger et Jean-Paul II, pour savoir si oui ou non les catholiques de rite oriental chaldéen sont autorisés à communier avec les assyriens schismatiques orientaux, des non-catholiques qui rejettent l'Église catholique.
Le document dit oui ; par conséquent, les assyriens schismatiques non-catholiques sont autorisés à recevoir la sainte Communion de la part de ministres catholiques, tandis que les « catholiques » chaldéens sont également autorisés à recevoir la communion dans les églises assyriennes schismatiques.
En plus de l’évident péché d’intercommunion hérétique avec des non-catholiques, il y a un problème supplémentaire. Ces schismatiques assyriens - contrairement à la plupart des schismatiques orientaux - n'ont pas de paroles de consécration dans leur liturgie ! Leur liturgie ne comprend même pas « Ceci est mon corps » ou « Ceci est mon Sang, etc., » elle ne possède pas les Mots de la Consécration, comme sont souvent appelées les paroles de consécration ! Donc, la liturgie schismatique assyrienne n'est même pas valide. Mais le document suivant du Vatican nous dit : pas de paroles de consécration, pas de soucis !
CONSEIL PONTIFICAL POUR LA PROMOTION DE L'UNITÉ DES CHRÉTIENS - Orientations pour l'admission à l'Eucharistie entre l'Église chaldéenne et l'Église assyrienne d'Orient ; 20 juil. 2001 : « Les orientations qui suivent ont été élaborées ensuite par le Conseil pontifical pour l'Unité des Chrétiens en accord avec la Congrégation pour la Doctrine de la Foi et la Congrégation pour les Églises orientales... 3. ... La question principale pour l'Église catholique en ce qui concerne l'acceptation de la demande, portait sur le problème de la validité de l'Eucharistie célébrée avec l'anaphore de Addai et Mari, l'une des trois anaphores traditionnellement en usage dans l'Église assyrienne d'Orient. L'anaphore de Addai et Mari est singulière du fait que, depuis des temps immémoriaux, elle est utilisée sans récit de l'Institution. Sachant que l'Église catholique considère les paroles de l'Institution eucharistique comme partie intégrante, et donc indispensable, de l'anaphore ou prière eucharistique, elle a conduit une étude longue et approfondie à propos de l'anaphore de Addai et Mari d'un point de vue historique, liturgique et théologique, au terme de laquelle, le 17 janvier 2001, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi est parvenue à la conclusion que cette Anaphore peut être considérée comme valide. Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II a approuvé cette décision... les paroles de l'Institution de l'Eucharistie sont de fait présentes dans l'anaphore de Addai et Mari, non pas sous la forme d'une narration cohérente et ad litteram, mais de manière eucologique et disséminée, c'est-à-dire qu'elles sont intégrées aux prières d'action de grâce, de louange et d'intercession qui suivent. » [22]
Commentaire : Ici, le document officiel du Vatican, approuvé par Jean-Paul II, admet que les paroles de l’ « institution eucharistique » (les paroles de consécration que le Christ Lui-même institua comme nécessaire pour la confection de l'Eucharistie) ne sont pas présentes dans cette liturgie assyrienne. Après avoir admis ce fait, il essaie de l'expliquer en affirmant que les paroles de consécration sont présentes de « manière eucologique et disséminée, » ce qui est une belle façon de dire qu’elles ne sont pas réellement présentes, mais sont en quelque sorte prises en compte dans d'autres « prières d'action de grâce, de louange et d'intercession, » qui ne mentionnent rien sur elles ! Comme c'est commode !
Selon ce document scandaleux, les paroles de consécration sont prises en compte dans d'autres prières d'actions de grâces, de louange et d'intercession qui ne les mentionnent pas. Cette hérésie dévaste toute la doctrine catholique sacramentelle.
Pape Eugène IV, Concile de Florence, Exultate Deo, S. 8 ; 22 nov. 1439 : « Tous ces sacrements sont accomplis par trois constituants : des choses qui en sont comme la matière, des paroles qui en sont comme la forme, et la personne du ministre qui confère le sacrement avec l'intention de faire ce que fait l'Église. Si l'un de ces constituants manque, le sacrement n'est pas accompli. » [23]
Pape St. Pie V, De defectibus, ch. 5, pa.1 : « Les paroles de la consécration, qui sont la FORME de ce Sacrement, sont celles-ci : CECI EST MON CORPS. Et : CAR CECI EST LE CALICE DE MON SANG, NOUVELLE ET ÉTERNELLE ALLIANCE, MYSTÈRE DE FOI, QUI POUR VOUS ET POUR BEAUCOUP SERA RÉPANDU EN RÉMISSION DES PÉCHÉS. Or, si quelqu’un venait à retirer, ou altérer quoi que ce soit dans la FORME de la consécration du Corps et du Sang, et dans ce changement de paroles la [nouvelle] formulation ne parvenait pas à signifier la même chose, il ne consacrerait pas le sacrement. »
À la lumière de ces faits, nous pouvons voir que cette hérésie de la secte Vatican II, celle de Jean-Paul II et de Benoît XVI, revient à dire qu’on peut valablement baptiser sans eau. C'est un rejet de la substance des sacrements ; ces choses instituées spécifiquement par le Seigneur Lui-même comme étant nécessaire pour la confection des sacrements, que nul homme – même pas un vrai pape – n’a le pouvoir de changer ou de modifier.
Pape Pie XII, Sacramentum ordinis ; 30 nov. 1947 : « ... l'Église n'a pas de pouvoir sur la “substance des sacrements”, c’est-à-dire sur ce que, au témoignage des sources de la Révélation divine, le Christ lui-même a prescrit de maintenir dans le signe sacramentel. » [24]
Pape St Pie X, Ex quo ; 26 déc. 1910 : « ... on sait que l'Église n'a aucunement le droit d'innover en quoi que ce soit s'agissant de la substance même des sacrements... » [25]
Poursuivons par un autre court extrait de ce document :
« 4. Orientations pour l'admission à l'Eucharistie... 1. En cas de besoin, les fidèles assyriens peuvent participer à une célébration chaldéenne de la Sainte Eucharistie et recevoir la Sainte Communion. De même, les fidèles chaldéens pour qui il est physiquement ou moralement impossible de s'approcher d'un ministre catholique, peuvent participer à une célébration assyrienne de la Sainte Eucharistie et recevoir la Sainte Communion. 2. Dans les deux cas, les ministres assyriens et chaldéens célèbrent la Sainte Eucharistie selon les prescriptions et les coutumes liturgiques de leur propre tradition. 3. Quand les fidèles chaldéens participent à une célébration assyrienne de la Sainte Eucharistie, le ministre assyrien est chaudement invité à introduire dans l'anaphore de Addai et Mari les paroles de l'Institution, selon l'autorisation exprimée par le Saint Synode de l'Église assyrienne d'Orient. » (Rome ; 20 juil. 2001)
Remarquez comment les schismatiques assyriens sont « chaudement invités » par le document du Vatican à utiliser les paroles de l'Institution. Mais si les schismatiques ne sont pas « chauds » à cette idée, pas de soucis - c'est de toute façon valide pour la secte Vatican II. À la lumière de ces faits, en quoi est-ce différent d’affirmer être en communion avec ces hommes que d'affirmer être communion avec des pasteurs protestants ?
L’évêque Novus Ordo de Kansas City, aux États-Unis, nie la virginité perpétuelle de Notre-Dame
Tiré d’un article du THE ANGELUS, publication de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie-X (FSSPX), déc. 2003, pp. 32-37 : « ... Je vous ai fait remarquer [à l'évêque Boland de Kansas City] que George Noonan, sur l'émission de radio [une émission soi-disant « catholique » du diocèse de l’évêque Boland], avait nié la nécessité de la grâce sanctifiante pour le salut de l’âme de quelqu’un. Vous [l’évêque Boland] avez immédiatement défendu M. Noonan en déclarant qu'il n'est pas nécessaire d’avoir la grâce sanctifiante pour sauver son âme... Quand je vous ai informé [à l’évêque Boland] que George Noonan (sur l’émission de radio) était resté muet quant à savoir si oui ou non il croyait au principe de la logique de non-contradiction, vous avez déclaré que la loi de non-contradiction – selon laquelle deux déclarations contradictoires ne peuvent être vraies toutes les deux - étaient en fait fausses...
Pendant notre conversation, nous avons aussi digressé sur le manque de respect manifesté par le rabbin Michael Zedik à propos de la Sainte Mère, et de la façon dont George Noonan, en tant qu’invité catholique, n’a pas défendu la dignité de Notre-Dame en tant que vierge perpétuelle. Vous avez dit qu'il faut déjà prouver que Notre-Dame n'ait pas eu d'autres enfants que Notre-Seigneur... Cela a vite conduit à notre dernière discussion dans laquelle vous déclariez que la doctrine de l'Église peut changer et a changé. Mon père et moi sommes complètement en désaccord avec vous sur ce point... » [26]
Commentaire : Est-ce que vous arrivez à croire que l’ « évêque » Boland soit la « tête » de la secte Novus Ordo/Vatican II à Kansas City ?
Pape Pie IX, Concile Vatican I, S. 4, ch. 3, ex-cathedra : « Mais il s'en faut de beaucoup que ce pouvoir du souverain pontife fasse obstacle au pouvoir de juridiction épiscopale ordinaire et immédiat par lequel les évêques... successeurs des apôtres paissent et gouvernent en vrais pasteurs chacun le troupeau qui lui a été confié... » [27]
L’ « évêque » Boland nie que la grâce sanctifiante soit nécessaire au salut ; il nie le principe de non-contradiction ; il nie la virginité perpétuelle de Notre-Dame, et estime que la doctrine catholique peut changer. L’évêque Boland est un hérétique manifeste.
Pape Paul IV, Concile de Trente, Cum quorumdam ; 1555 : « ... cette même bienheureuse Vierge Marie... demeurée dans l'intégrité virginale avant, pendant et perpétuellement après l'enfantement. » [28]
Pape Martin Ier, Concile Latran I ; ca. 3 ; 649 A.D.: « Si quelqu'un ne confesse pas, selon les saints Pères, en un sens propre et véritable, Mère de Dieu la sainte, toujours vierge et immaculée Marie... sa virginité demeurant inaltérable aussi après l'enfantement, qu'il soit condamné. » [29]
Évidemment, l’ « évêque » Boland n'est pas la tête visible et l'autorité de l'Église catholique à Kansas City, mais la tête de pont à Kansas City d'une secte non-catholique se présentant comme l'Église catholique (Vatican II/la secte Novus Ordo). Et aussi incroyablement hérétique qu’il est, l’ « évêque » Boland est probablement dans la moyenne des évêques Novus Ordo. Mais malgré cela, des groupes comme la FSSPX reconnaissent toujours Boland comme catholique et chef du diocèse ; leurs prêtres à Kansas City prient pour lui en tant qu’évêque légitime chaque dimanche à la Messe, et ils continuent de l'appeler « Votre Excellence » ! Puisqu’ils s’obstinent dans cette position, ils offensent gravement Dieu et Notre-Dame.
Du même article tiré de The Angelus, publication de la FSSPX ; déc. 2003, pp. 33-37 : « Votre Excellence... Votre Excellence... Votre Excellence... Votre Excellence... Avant tout, Votre Excellence... Votre Excellence... Que Dieu vous bénisse [évêque Boland] dans votre travail en tant qu’évêque de notre diocèse pour que la foi catholique traditionnelle soit nourrie et se propage de sorte que votre couronne dans le Ciel soit ornée par les nombreuses âmes confiées à vos soins spirituels. » [30]
Lors de la Conférence de Fatima de 2003, organisée par le clergé Novus Ordo, la définition dogmatique du concile de Florence fut traitée d’ « horrible » !
Catholic Family News; déc. 2003, pp 20-21 : « ... J'ai couvert nombre de ces conférences post-conciliaires, y compris des Séminaires Nouvelle Évangélisations, des Journées Rock’n’roll Mondiales de la Jeunesse, des réunions hurlantes charismatiques, et des soirées de dialogue judéo-catholique. Pourtant, l’hérésie la plus explicite que j’ai entendue à un de ces événements, est sortie de la bouche d’un jésuite belge, le Père Jacques Dupuis, à seulement quelques centaines de mètres de l'endroit où Notre-Dame de Fatima était apparue... Concernant “hors de l'Église pas salut”, le Père Dupuis a dit avec dégoût : “Il n'est pas nécessaire ici d'invoquer cet horrible texte du concile de Florence de 1442.” » [31]
Commentaire : Nous avons déjà montré que le sanctuaire de Notre-Dame de Fatima fut envahi par des hindous avec l'autorisation entière de la secte Vatican II. Il fut également dit qu’il serait transformé en un sanctuaire interreligieux ouvert à toutes les religions. Lors de la conférence Fatima, où cette idée diabolique fut mise en avant, le père Jacques Dupuis traita d’ « horrible » la définition du concile dogmatique de Florence sur Hors de l’Église pas de salut.
Pape Eugène IV, Concile de Florence, « Cantate Domino » ; 1441, ex-cathedra : « La sainte Église romaine croit fermement, professe et prêche qu'aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l'Église catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et ses anges à moins qu'avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés [attachés] ; elle professe aussi que l'unité du corps de l'Église a un tel pouvoir que les sacrements de l'Église n'ont d'utilité en vue du salut que pour ceux qui demeurent en elle, pour eux seuls jeûnes, aumônes et tous les autres devoirs de la piété et exercices de la milice chrétienne enfantent les récompenses éternelles, et que personne ne peut être sauvé, si grandes que soient ses aumônes, même s'il verse son sang pour le nom du Christ, s'il n'est pas demeuré dans le sein et dans l'unité de l'Église catholique. » [32]
Mgr Guerra (le Recteur du sanctuaire de Fatima), ainsi que le propre délégué apostolique de Jean-Paul II au Portugal, et l'évêque de Leiria-Fatima, étaient également présents et applaudirent l'hérésie du père Dupuis. Cela signifie que l'homme qui reçut de la secte Vatican II la charge du sanctuaire, aussi bien que l'évêque sur son territoire, applaudirent le discours précité, qui donnait le nom d’ « horrible » à l’enseignement solennel du concile de Florence ! La foule en présence applaudit également le discours, qui dans son entier était rempli d’hérésies et d'apostasies.
Pour garder la foi, il n’est pas suffisant de s'opposer à ces abominations et ces incroyables hérésies, si on affirme tout de même être en communion dans la foi avec ces hommes.
Affirmer être en communion dans la foi avec de tels hommes, c'est renier la foi en mélangeant Fatima avec l’apostasie ; en disant qu'on peut être apostat tout en gardant l'autorité de l'Église du Christ à Fatima.
Même des évêques Novus Ordo, « conservateurs, » comme l' « évêque » Fabian Bruskewitz et le « cardinal » George, sont des apostats complets
Même si l’on se penche sur les membres les plus conservateurs de la « hiérarchie » sous Benoît XVI, comme aux Etats-Unis, dans le Nebraska, avec l' « évêque » de Lincoln, Fabian Bruskewitz, on voit que ce ne sont que des apostats complets. L’ « évêque » Bruskewitz « a présidé une cérémonie de prière œcuménique et un petit déjeuner, avec un évêque anglican et un assortiment de ministres luthériens. » [33]
L’ « évêque » Bruskewitz « a également assisté avec respect à la consécration [invalide] de l’évêque méthodiste Joël Martinez, qui s’était publiquement rappelé (dans un sermon du 21 mai 2000) du jour heureux où sa mère avait quitté l'Église catholique... » [34] Une des propres paroisses de Bruskewitz « conduit un programme qu'elle nomme “Sermon à la carte”, où des paroissiens sont invités à assister à des sermons de ministres de ces mêmes sectes [diverses sectes protestantes], ainsi que d’églises méthodistes et luthériennes locales. » [34] C’est hérétique.
Pape Pie IX, Graves ac diuturnae ; 23 mars 1875 : « Ils [les fidèles] devraient totalement fuir leurs célébrations religieuses, leurs bâtiments et leurs chaires pestilentielles qu’ils ont établis en toute impunité pour transmettre les enseignements sacrés. Ils devraient fuir leurs écrits et tout contact avec eux. Ils ne devraient avoir aucune relation ou rencontre avec des prêtres usurpateurs et apostats de la foi, qui ont l’audace d’exercer les fonctions d'un ministre ecclésiastique sans posséder une mission légitime ou une quelconque juridiction. » [36]
Pire que tout, l’ « évêque » Bruskewitz dirigea même un Repas Seder (dernière cène) interreligieux avec un groupe de rabbins dans sa propre cathédrale pendant la Semaine Sainte, commettant ainsi un acte épouvantable d’apostasie, d’hérésie et de péché mortel. [37] Tout cela prouve que l’ « évêque » Bruskewitz , qui est peut-être l’ « évêque » de la hiérarchie Vatican II le plus conservateur, n’est en fait qu’un hérétique manifeste et un apostat.
En ce qui concerne le « cardinal » George, nous avons déjà fait remarquer que dans son journal diocésain il écrivait que « L'Église a aussi péché contre le peuple juif, tout d'abord, dans l'enseignement que l'alliance de Dieu avec Israël n'est plus valable... » [38] Cela signifie que George soutient que les juifs ont une alliance valide avec Dieu et n'ont pas besoin de se convertir à la foi catholique ou en Jésus-Christ pour le salut. Tous ces « évêques » acceptent aussi les hérésies de Vatican II, l’incroyable Déclaration conjointe avec les luthériens sur la Justification, et l'œcuménisme des antipapes Vatican II.
Chaque année, le Vatican envoie un message commémorant la fête bouddhiste du Vesakh
Message du Vatican aux bouddhistes pour la fête de Vesakh, Archevêque Michael Fitzgerald, président du Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux ; 27 avril 2004 :
« Chers amis bouddhistes, 1. Je vous écris, cette année encore, pour vous exprimer mes salutations cordiales à l’occasion de la fête de Vesakh. Je prie afin qu’elle puisse être, pour tous et chacun de vous, joyeuse et paisible. Cette fête de Vesakh est une occasion pour nous chrétiens de rendre visite à nos amis et à nos voisins bouddhistes pour échanger des vœux, et ceci aide à renforcer les liens d’amitié déjà existants et à en créer de nouveaux. C’est mon souhait que de tels liens cordiaux puissent continuer à se développer, de génération en génération, en partageant nos joies et nos espoirs, nos peines et nos préoccupations... » [39]
Chaque année, le Vatican félicite les musulmans à la fin du Ramadan
« Archevêque » Michael Fitzgerald, chef du Conseil pontifical du Vatican pour le Dialogue Interreligieux :
« Chers amis musulmans,
1. C’est pour moi un plaisir de m’adresser à vous à l’occasion de Id al-Fitr, qui conclut le mois du Ramadan, pour vous présenter mes vœux les plus amicaux, au nom du Conseil pontifical pour le Dialogue interreligieux et au nom de l’Église catholique dans son ensemble... 4. Comme croyants au Dieu Unique, nous croyons notre devoir de chercher à instaurer la paix. Chrétiens et musulmans, nous croyons que la paix est avant tout un don de Dieu, c’est pourquoi nos deux communautés respectives prient pour la paix et elles ont toujours appelé à le faire. Comme vous le savez, le Pape Jean-Paul II a invité, le 24 janvier 2002, des représentants de différentes religions à venir à Assise, la cité de saint François, pour prier et s’engager en faveur de la paix dans le monde...
5. Afin d’obtenir la paix et de la conserver, les religions ont à jouer un rôle important...
6. C’est dans un moment très particulier pour vous, ce temps du Ramadan, où le jeûne, la prière et la solidarité vous apportent une paix intérieure, que je partage avec vous ces réflexions sur les voies de la paix. Je vous souhaite donc cette paix, dans vos cœurs, dans vos familles et dans vos patries, et j’invoque sur vous la Bénédiction du Dieu de la paix. » - Archevêque Michael L. Fitzgerald, président. [40]
Commentaire : c'est une apostasie totale. Voilà pourquoi le pape Pie XI déclarait (comme déjà cité) que ceux qui favorisent les rassemblements de prière interreligieuse, comme les antipapes Vatican II et leurs évêques apostats, ne sont pas seulement dans l'erreur et trompés, mais ont complètement rejeté la vraie religion.
Pape St. Léon le Grand ; c. 450 A.D. : « Car quiconque s’est égaré du chemin de la foi véritable, et s’est placé sur un autre, tout son voyage n’est qu’apostasie ; et plus il s’éloigne de la lumière catholique, plus il se rapproche des ténèbres de la mort. » [41]
Chaque année, le Vatican envoie un message aux hindous pour le jour de fête du Diwali !
« Chers amis hindous,
1. Cette année encore, je suis heureux de vous saluer et de partager avec vous un court message à l’occasion de Diwali, la fête que vous célébrez selon votre vénérable tradition religieuse. Je sais que, parmi beaucoup de fêtes hindoues que vous célébrez au cours de l’année, celle-ci, en particulier, a une place spéciale et une grande importance pour vous et vos familles. Diwali est un temps où les familles se réunissent et célèbrent, de manière significative, les rites prescrits par l’ancien dharma... Vos différentes traditions hindoues (sampradaya) ne parlent-elles pas, d’une manière éloquente, non seulement de l’amour de Dieu pour nous et de notre amour pour Dieu, mais aussi de l’amour que les êtres humains doivent avoir les uns pour les autres ?... L’occasion de la fête de Diwali nous fournit une abondante matière à réflexion quand la tradition hindoue nous informe comment la lumière l’emporte sur les ténèbres, comment la victoire du bien s’accomplit sur le mal et comment la haine cède la place à l’amour, à travers le pardon... Chers amis hindous, puissiez-vous ainsi que vos familles, vos amis et même les étrangers au milieu de vous, expérimenter en cette fête de Diwali, la joie, la paix, la sérénité et la lumière, symbolisées par les innombrables flammes, les Deepavali. » [42]
Envoyé par l’archevêque Michael L. Fitzgerald (14/10/2003) , Président du Conseil du Vatican pour le dialogue interreligieux.
Commentaire : Fitzgerald dit même aux hindous que leur fausse religion du diable « nous informe comment la lumière l’emporte sur les ténèbres. » Si Fitzgerald n'était pas un apostat se trouvant malheureusement dans des ténèbres spirituelles, il découvrirait que ceux qui sont en dehors du royaume du Christ demeurent dans le royaume des ténèbres (Col. 1:13).
Colossiens 1:13 - « Qui nous a arrachés de la puissance des ténèbres, et transférés dans le royaume du Fils de sa dilection. »
Pape Léon XIII, Ad extremas ; 24 juin 1893 : « Le premier souvenir qui Nous émeut est celui de l’apôtre saint Thomas, qu’on regarde, avec raison, comme ayant promulgué dans les Indes la loi de l’Évangile ; saint François-Xavier travailla longtemps après dans le même but... arrivant à convertir à la vraie religion et à la foi des centaines de milliers d’Indiens qu’il arracha à l’impure superstition des Brahmes. Sur les traces de ce saint apôtre, un grand nombre de prêtres... marchent encore aujourd’hui avec un zèle admirable pour garder et étendre cette foi chrétienne... Et cependant, dans ces vastes contrées, quelle multitude éloignée encore de la vérité, enveloppée des ténèbres d’une déplorable superstition ! » [43]
Donc, pour résumer, chaque année pour la journée bouddhiste du Vesakh, et durant le mois musulman du Ramadan, et lors de la fête hindoue de Diwali, la secte Vatican II envoie officiellement ses vœux de louanges et d’estimes à ces fausses religions. Cela prouve que la Nouvelle Église de la secte Vatican II n'est qu’une fausse religion parmi d’autres fausses religions.
La secte Vatican II enseigne que les juifs et les musulmans sont la descendance spirituelle d'Abraham, ce qui est un déni de Jésus-Christ
Une hérésie commune de la secte Vatican II est l'idée que les juifs et les musulmans sont la descendance spirituelle d'Abraham, ou pour le dire autrement, c’est l'idée que le christianisme, l'islam et le judaïsme sont tous héritiers de la foi d'Abraham. Cette hérésie est enseignée par beaucoup dans la secte Vatican II, mais elle fut enseignée plus ouvertement par Jean-Paul II. Cette hérésie rejette la vérité divinement révélée que le Christ est la descendance d'Abraham, et que seuls ceux qui acceptent le Christ sont la descendance spirituelle d'Abraham.
Quand Dieu a promis à Abraham que, « Seront bénies en ta postérité toutes les nations de la terre, parce que tu as obéi ma voix » (Genèse 22:18), Il faisait allusion à Notre-Seigneur Jésus-Christ, comme saint Paul l’explique très clairement.
Galates 3:14 - « Afin que la bénédiction donnée à Abraham fût communiquée aux gentils par le Christ Jésus, pour que nous reçussions par la foi la promesse de l’Esprit. »
Galates 3 :29 - « Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la descendance d’Abraham... »
Les papes suivants, vraiment formidables, sont tous aussi clairs.
Pape St. Grégoire le Grand ; mort c. 590A.D. : « ... si vous êtes à Christ, vous êtes donc la descendance d’Abraham (Gal. 3:29). Si en raison de notre foi en Christ nous sommes considérés enfants d'Abraham, alors les juifs ont cessé d'être Sa descendance à cause de leur perfidie. » [44]
Pape St. Léon le Grand, Lettre dogmatique à Flavien (449 A.D.), lue au concile de Chalcédoine ; 451 A.D., ex-cathedra : « C’est à Abraham que les promesses furent adressées et à sa descendance. L’Écriture ne dit pas “et aux descendants,” comme s’il s’agissait de plusieurs ; elle n’en désigne qu’un, “et à ta descendance,” c'est-à-dire le Christ (Gal. 3:16). » [45]
Pourtant, les dirigeants de la secte Vatican II nient fréquemment cette vérité infaillible de l'Écriture et du dogme catholique, en affirmant que les juifs et les musulmans sont les descendants spirituels ou « enfants » d'Abraham.
Jean-Paul II, Homélie ; 7 mars 1982 : « Les descendants d'Abraham dans la foi sont, dans un certain sens, les adeptes des trois grandes religions monothéistes du monde: le Judaïsme, le Christianisme, l'Islam. “Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix.” (Genèse 22:18). » [46]
Jean-Paul II, Discours, aux citoyens romains ; 15 jan. 1998 : « Je vous salue cordialement, citoyens romains, qui appartenez à d'autres traditions religieuses : Vous, les Juifs, héritiers de la foi d'Abraham, qui pendant des siècles avez partagé dans le monde spirituel et la vie civile à Rome ; vous, frères et sœurs des confessions chrétiennes ; vous, les croyants de la religion musulmane. Que l’adoration commune du Très-Haut favorise le respect mutuel et fasse de vous tous les constructeurs actifs d'une société ouverte et unie. » [47]
Jean-Paul II, Homélie ; 1er jan. 2002: « Cet appel s'adresse tout d'abord à ceux qui croient en Dieu, en particulier les trois religions abrahamitiques, judaïsme, christianisme et islam, appelées à toujours exprimer leur refus de la violence de la façon la plus ferme et décidée. » [48]
Commentaire : Il s’agit d’une négation majeure de Jésus-Christ. Voyez ci-dessus comment Jean-Paul II cita même la promesse faite à Abraham dans Genèse 22:18 pour attribuer cette bénédiction au judaïsme et à l'islam !
Galates 3:29 - « Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la descendance d’Abraham... »
Résumé de l’apostasie de la hiérarchie et de membres de la secte Vatican II
Nous avons documenté de façon exhaustive les hérésies flagrantes et l'apostasie de la hiérarchie et de membres éminents de la secte Vatican II. Nous pourrions continuer ainsi sur de nombreuses pages, mais cela suffit pour établir qu’il est certain que nous sommes dans la Grande Apostasie, et que la religion à laquelle ils adhèrent (le « catholicisme » post-Vatican II) n’est qu’une secte de contrefaçon que les catholiques doivent complètement rejeter.
[1] http://www.buffalonews.com/editorial/20060919/1039091.asp
[2] Dom Prosper Guéranger, L’année liturgique, Le temps de la Septuagésime, Éditions Saint-Rémi, p. 339-340.
[3] Cit. St Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, L. II, ch. 30.
[4] http://www.buffalonews.com/editorial/20060919/1039091.asp
[5] Itar-Tass News Agency, 7 mai 2004
[6] http://www.usatoday.com/news/religion/2004-11-17-catholic-bishops_x.htm?csp=34
[7] Pie XII, Lettre encyclique Mystici Corporis Christi, Le Corps Mystique de Jésus-Christ, Bonne Presse, 1943, p. 14.
[8] National Catholic Register, 19-25 sep. 2004, p. 10.
[9] Internet, Les juifs et le judaïsme dans l’art médiéval en Alsace, Juifs et chrétiens d’aujourd’hui.
http://judaisme.sdv.fr/histoire/historiq/medieval/today.htm
The Angelus, fév.-mars 2004, p. 70.
[10] http://www.usccb.org/seia/filioque.shtml
[11] G. Alberigo, Les Conciles Œcuméniques, Les Décrets, Éd. française, Éditions du Cerf, Paris, 1994, T. II-1 (de Nicée à Latran V), p. 655.
Peter Hünermann, Heinrich Denzinger, Enchiridion Symbolorum, Symboles et définitions de la Foi catholique, 38e éd., Éd. française, Éditions du Cerf, Paris, 2010, n° 850.
[12] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 1300, 1302.
[13] Site Vatican, La Curie romaine, Conseils pontificaux, Promotion de l'Unité des Chrétiens, Commission du Saint-Siège pour les relations religieuses avec le Judaïsme, Communiqué conjoint de la rencontre de Grottaferrata (Italie) entre les délégations de la Commission du Saint-Siège pour les Rapports religieux avec le judaïsme et le Grand Rabbinat d'Israël, 19 oct. 2004, ve. français, n° 3.
http://www.vatican.va/roman_curia/pontifical_councils/chrstuni/relations-jews-docs/rc_pc_chrstuni_doc_20041019_joint-declaration_fr.html
L’Osservatore Romano, Éd. anglais, 17 nov. 2004, p. 8.
[14] Léon XIII, Lettres apostoliques de S.S. Léon XIII, encycliques, brefs, etc. (Éd.1893), Hachette livre/BnF, Paris, 1893-1904, T. 3, p. 205.
[15] St. François Xavier, Lettres de S. François Xavier, apôtre des Indes et du Japon, Hachette livre/BnF, Paris, 1828, T. 1, p. 46.
[16] St. François Xavier, Correspondance 1535-1552, Lettres et documents, Desclée de Brouwer, Paris, 1987, p. 99.
[17] L’Osservatore Romano, Éd. anglais, 24 mars 2004, p. 10.
[18] L’Osservatore Romano, Éd. anglais, 10 mars 2004, p. 11.
[19] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 1351.
[20] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 469.
[21] L’Osservatore Romano, Éd. anglais, 18 fév. 2004.
[22] Site Vatican, La Curie romaine, Conseils pontificaux, Promotion de l'Unité des Chrétiens, Dialogue avec l'Église Assyrienne de l'Orient, Orientations pour l’admission à l’Eucharistie entre l'Eglise Chaldéenne et l'Eglise Assyrienne d’Orient, 25 oct. 2001, ve. français, nn° 1, 3. http://www.vatican.va/roman_curia/pontifical_councils/chrstuni/documents/rc_pc_chrstuni_doc_20011025_chiesa-caldea-assira_fr.html
[23] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 1312.
[24] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 3857.
[25] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 3556.
[26] The Angelus, Kansas City, MO, déc.. 2003, pp. 32-37.
[27] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 3061.
[28] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 1880.
[29] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 503.
[30] The Angelus, déc. 2003, pp. 32-37.
[31] Catholic Family News, Niagra Falls, NY, déc. 2003, pp. 20-21.
[32] Denzinger, Éd. du Cerf, n° 1351.
[33] Thomas Woods and Chris Ferrara, The Great Façade, The Remnant Publishing Co., Wyoming, MN , 2002, pp. 147-148.
[34] The Great Façade, p. 148.
[35] The Great Façade, p. 148.
[36] Claudia Carlen, The Papal Encyclicals, The Pierian Press, Raleigh , 1990, V. 1 (1740-1878), p. 452, n° 4.
[37] Catholic Family News, jan. 1999.
[38] Card. Francis George, The Sins of the Church: God’s Forgiveness and Human Memories, Catholic New World, 19 mars 2000.
[39] Site Vatican, La Curie romaine, Conseils pontificaux, Dialogue inter-religieux, Message aux Bouddhistes pour le Vesakh, 27 avril 2004, ve. français, n° 1.
http://www.vatican.va/roman_curia/pontifical_councils/interelg/documents/rc_pc_interelg_20040427_vesakh2004_fr.html
[40] Site Vatican, La Curie romaine, Conseils pontificaux, Dialogue inter-religieux, Message pour la fin du Ramadan, 22 nov. 2002, ve. français, n° 1, 5, 6.
http://www.vatican.va/roman_curia/pontifical_councils/interelg/documents/rc_pc_interelg_doc_20021122_ramadan2003_fr.html
L’Osservatore Romano, Éd. anglais, 26 nov. 2003, p. 3.
[41] The Sunday Sermons of the Great Fathers, Regnery, Co , Chicago, IL 1963, V. 2, p. 148.
[42] Site Vatican, La Curie romaine, Conseils pontificaux, Dialogue inter-religieux, Message envoyé aux Hindous pour la festivité du Diwali, 14 oct. 2003, ve. français, n° 1, 3, 6.
http://www.vatican.va/roman_curia/pontifical_councils/interelg/documents/rc_pc_interelg_doc_20031014_diwali_fr.html
[43] Lettres apostoliques de S.S. Léon XIII, T. 3, p. 205.
[44] The Sunday Sermons of the Great Fathers, Vol. 1, p. 92.
[45] Les Conciles Œcuméniques, Les Décrets, T. II-1, p.183.
[46] Site Vatican, Jean-Paul II, Homélies, Visite pastorale à la Paroisse romaine de l'Immaculée Conception à Cervelletta, 7 mars 1982, vers. italien, n° 1, § 10.
http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/homilies/1982/documents/hf_jp-ii_hom_19820307_visita-parrocchia_it.html
[47] Site Vatican, Jean-Paul II, Discours, Salut à la population réunie sur la Place du Capitole à Rome, 15 janv. 1998, vers. anglais, n° 2, § 3.
http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/speeches/1998/january/documents/hf_jp-ii_spe_19980115_campidoglio_en.html
[48] Site Vatican, Jean-Paul II, Homélies, Solennité de la Très Sainte Mère de Dieu - XXXVème Journée mondiale de la Paix, 1er janv. 2002, ve. français, n° 4.
http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/homilies/2002/documents/hf_jp-ii_hom_20020101_madre-di-dio_fr.html