L'idolâtrie de la secte Vatican II est liée à son homosexualité rampante
Source: vaticancatholique.com

L'Écriture enseigne que l'homosexualité est un résultat de l’idolâtrie.
Rom. 1 – « Parce que, ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, ou ne lui ont pas rendu grâces; mais ils se sont perdus dans leurs pensées, et leur cœur insensé a été obscurci... Eux qui ont transformé la vérité de Dieu en mensonge, adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni dans les siècles. Amen. C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions d’ignominie. Car leurs femmes ont changé l’usage naturel en l’usage contre nature. Et pareillement les hommes, l’usage naturel de la femme abandonné, ont brûlé de désirs l’un pour l’autre, l’homme commettant l’infamie avec l’homme, et recevant ainsi en eux-mêmes le salaire qui était due à leur égarement... ceux qui font ces choses sont dignes de mort ; et non seulement ceux qui les font, mais quiconque aussi approuve ceux qui les commettent. »
La secte Vatican II contredit cet enseignement de l'Écriture en affirmant que la cause de l'homosexualité est inconnue, et que l'orientation homosexuelle n'est pas mauvaise.
Jean-Paul II, Nouveau Catéchisme, n° 2357 : « L'homosexualité... Sa genèse psychique reste largement inexpliquée. » [1]
Mais Romains 1 enseigne clairement que l'homosexualité est « contre nature, » ce qui signifie que cette orientation est étrangère à la nature de l'homme : elle n'est PAS INCULQUÉE PAR DIEU. Comme résultat d’idolâtrie, Dieu permet parfois qu’un démon prenne les personnes, les possède, et change leur orientation sexuelle, comme le décrit saint Paul.
Hommes et femmes sont livrés à l'homosexualité à cause du grand nombre de leurs péchés d’impureté — rendant par là un culte à la chair plutôt qu’à Dieu. À cause de ce péché, ils peuvent se faire posséder par le démon de la luxure, qui prend le dessus sur eux et corrompt toute leur orientation sexuelle (ils peuvent en être guéris). Les gens deviennent aussi homosexuels en se livrant à l’idolâtrie, soit en nourrissant au-dessus de Dieu une fascination perverse pour les êtres humains — adorer la créature plutôt que le Créateur — soit en adorant tout simplement une créature ou une œuvre produite par l’homme. Le fait que tous les homosexuels sont possédés par un démon est corroboré par le fait que la plupart des hommes homosexuels peuvent être identifiés par leurs maniérismes extérieurs très efféminés. Qu'est-ce qui explique cela ? C'est évidemment la présence du démon dans la personne qui se manifeste à l'extérieur — le maniérisme extérieur, contre-nature, révèle la corruption interne de l'âme.
Isaïe 3:9 – « La vue de leur visage leur a répondu, et comme Sodome, ils ont publié leur péché et ne l’ont point caché ; malheur à leur âme, parce que les maux qu’ils avaient faits leur ont été rendus. »
Notez que le prophète Isaïe, en se référant aux homosexuels, dit « les maux qu’ils avaient faits leur ont été rendus. » C'est une ressemblance frappante avec Romains 1 ci-dessus, où saint Paul dit que les homosexuels ont reçu « en eux-mêmes le salaire [maux... rendus] qui était due à leur égarement. »
Une étude des cultures les plus démoniaques de l'histoire corrobore l'enseignement des Écritures sur le lien entre l'idolâtrie (que ce soit pour la chair ou pour une œuvre faite à la main) et l'homosexualité. Tout cela est pertinent pour notre étude, parce que l'homosexualité est répandue chez les membres du clergé Vatican II.
La culture aztèque des 15e et 16e siècles au Mexique, que les conquistadors catholiques renversèrent physiquement — et que l'apparition de Notre-Dame de Guadalupe (en 1531) écrasa spirituellement — fut sans doute la culture la plus viciée de l'histoire humaine.
Warren H. Carroll, Our Lady of Guadalupe and the Conquest of Darkness, pp. 8-11 : « De nombreux peuples primitifs pratiquèrent occasionnellement le sacrifice humain et certains pratiquaient le cannibalisme. Aucun ne put jamais atteindre le rythme des Aztèques. Personne ne saura jamais combien ils sacrifièrent ; mais la loi de l'empire requérait chaque année, dans chaque ville avec temple, mille sacrifices pour Huitzilopochtli, le dieu tribal des aztèques ; et il y avait 371 villes en question dans l'empire aztèque...
« Chaque cité et grande ville aztèque avait sa place centrale, d’où s’élevait un haut temple pyramidal, et quatre portes donnaient sur quatre chemins d'accès à la ville en lignes droites, s’étendant sur au moins huit kilomètres ; chacune se terminant sur un côté du temple pyramidal... Mois après mois, année après années, temple après temples, les victimes sacrificielles empruntaient les routes menant aux escaliers, gravissant les marches de la plate-forme pour atteindre le sommet, où on les renversait en arrière, le dos posé sur de grandes dalles convexes en pierre polie, le cou attaché par un crochet tenu par un prêtre à la tête et aux bras teintés de noir, des cheveux noirs jamais entretenus remplis de grumeaux et feutrés de sang séché ; et des vêtements à l’origine blancs, trempés et colorées d’innombrables gouttes de couleurs pourpre. Un immense couteau à lame de verre volcanique noire s’élevait et descendait, perforant et ouvrant la victime. Son cœur était arraché, continuant de battre et était brandi afin que tous pussent le voir, tandis que son corps, ravagé, était lancé du bord de la plate-forme du temple, d’où il rebondissait et gesticulait le long des marches jusqu’au sol en de contorsions obscènes ; un parcours d’une centaine de mètres. Plus tard, les membres de son corps étaient mangés...
« L’un des premiers historiens mexicain, Ixtlilxochitl, estima qu’un enfant sur cinq au Mexique était sacrifié... Un symbole presque universel de la religion mexicaine était le serpent. L’annonce des sacrifices se faisait par le battement prolongé d'un immense tambour constitué d’énormes peaux de serpents, qui pouvait s’entendre sur cinq kilomètres de distance. Nulle part dans l'histoire humaine, Satan ne put à ce point officialiser et institutionnaliser son culte avec tant de titres et de symboles qui sont les siens. » [2]
Voici la description faite en 1487 de la dédicace d'un nouveau temple pyramidal aztèque pour leur faux dieu, Huitzilopochtli :
« Tlacaellell décida que ce temple central devait être consacré par le plus grand sacrifice en masse depuis ses cinquante-huit ans de domination sur l'empire aztèque. Comme toujours, il avait sa manière de procéder. Dans les descriptions mémorables de R.C. Padden, on lit ceci : Bien avant que le soleil ne se levât lors de la journée d'ouverture, les légionnaires préparaient les victimes, qui étaient placées en file indienne le long des marches de la grande pyramide, à travers la ville, sur les chaussées, et aussi loin que l'œil pouvait voir. Il aurait semblé à un individu, contemporain de l’époque et témoin de ce spectacle depuis les toits, que les victimes s’étiraient jusqu’aux confins de la terre. La majeure partie de ces malheureux était originaire de provinces hostiles réduites en esclavage. Au sommet de la pyramide, quatre dalles avaient été installées, une au dessus de chaque escalier, pour Tlacaellel et les trois rois de la Triple Alliance qui tous, lors du départ, se mettraient à l’œuvre en tant que sacrificateurs. Tous étaient prêts ; les rangs de victimes s’étendaient sur des kilomètres, avec de grands réservoirs à leurs extrémités, des milliers d'êtres humains pris au piège et tournant en rond comme du bétail, attendaient leur tour dans le rang sur le point de se mouvoir. Soudain, les rois brillamment parés approchèrent de la chapelle de Huitzilopochtli [le faux-dieu] et se prosternèrent respectueusement. Tandis qu’ils se tournaient pour rejoindre leurs aides autour des quatre dalles, les grands tambours en peau de serpent battaient la mesure, annonçant que les rangs pouvaient maintenant commencer à se déplacer.
« Des relais de prêtres envoyaient les victimes. Dès qu’un groupe se fatiguait [de tuer], d'autres sur les milliers de personnes vivant dans le nouveau temple s'avançaient pour les soulager et ainsi garder le rythme. Des années de pratique leur avaient donné une habileté et une vitesse incroyable. Une source fiable indique qu'il ne leur fallait que quinze secondes pour tuer chaque victime. Sang et organes tombaient en cascade dans un flux sans fin sur les marches du temple. Les cœurs et les crânes étaient rassemblés en piles, formant des tas innombrables.
« Cette cérémonie se prolongeait durant quatre jours et quatre nuits. Plus de 80 000 hommes furent tués. Tlacaellel avait ordonné à tous ceux de la haute noblesse du Mexique d’être présents, observant la chose depuis des estrades parfumées couvertes de roses, mais les obligations coutumières, et même la peur, se transformaient finalement en une horreur qui les submergeait, et la plupart des spectateurs fuyaient, avec de nombreuses personnes de la ville. Même ceux qui pouvaient dissimuler à leur regard ce qui était en train de se passer, étaient incapables de supporter plus longtemps toute la puanteur. Mais à 89 ans, Tlacaellel [le chef de l’Empire] était resté jusqu'à la fin, observant les victimes tuées en quinze secondes, jusqu'à ce que le dernier des 80 000 ait eu son cœur arraché sous ses yeux dévorants. » [3]
Peut-être que ce morceau d’histoire, plus que tout autre, illustre la vérité de l'enseignement biblique que les dieux des païens sont en fait des démons.
Psa. 95:5 - « Parce que tous les dieux des nations sont des démons ... »
1 Cor. 10:20 – « Mais ce qu’immolent les gentils, ils l’immolent aux démons et non à Dieu. Or je désire que vous n’ayez aucune société avec les démons... »
Cela démontre aussi le lien entre idolâtrie et homosexualité, car les conquistadores catholiques, « après avoir repoussé l'attaque [des aztèques], virent leurs premiers temples modestes. “Il s’y trouvait des idoles d'argiles en poteries”, nous dit Bernal Diaz, “aux visages de démons ou de femmes et autres personnalités maléfiques, représentant des actes de sodomie commis les uns avec les autres, entre Indiens.” » [4]
C’était un tel problème que Cortés avait dit aux Aztèques : « Je veux que vous sachiez que nous sommes venus de loin... Abandonnez votre sodomie et toutes vos autres pratiques diaboliques, car c’est ainsi que l’ordonne Notre-Seigneur Dieu, en qui nous croyons et que nous adorons... » [5]
Saint François-Xavier (16e siècle) avait vu la même chose en prêchant la foi dans le Japon païen : « Quand nous parcourions les rues, les enfants et d’autres gens nous poursuivaient en se moquant de nous et disaient : ... “Ce sont eux qui interdisent le péché de sodomie,” car celui-ci est très répandu parmi eux. » [6] Ces convoitises non-naturelles étaient très répandues parce qu'ils adoraient des idoles dans près de trente-trois mille temples de Kyoto. [7] Comme l’enseigne Romains 1, les désirs contre-nature sont liés à l'idolâtrie.
Voilà pourquoi les perversions sont si fréquentes chez les membres du clergé de la secte Vatican II : ils baignent dans l'idolâtrie.
[1] Site Vatican, Catéchisme de l’Église Catholique, ve. français, Pa. 3, se. 2, ch. 2, ar. 6, II, n° 2357.
http://www.vatican.va/archive/FRA0013/__P80.HTM
Catéchisme de l’Église Catholique, Nouvelle édition, Pocket, Paris, 1998, p. 568.
[2] Warren H. Carroll, Our Lady of Guadalupe and the Conquest of Darkness, Christendom Press, Front Royal, VA, 1983, pp. 8-11.
[3] Our Lady of Guadalupe..., pp. 8-11.
[4] Our Lady of Guadalupe..., p. 17.
[5] Our Lady of Guadalupe..., p. 33.
[6] St. François Xavier, Correspondance 1535-1552, Lettres et documents, Desclée de Brouwer, Paris, 1987, p. 366.
[7] Henry James Coleridge, S.J., The Life and Letters of St. Francis Xavier (publ. ori.: Burns and Oates, Londres,1874) 2nde réimp. Asian Educational Services, New Delhi , 2004,p. 350.