La secte Vatican II promeut l’idolâtrie par son adoration de l’homme
Source: vaticancatholique.com
« Ceux qui entreprennent la tâche fastidieuse de patauger dans ne serait-ce qu’une fraction de la propagande qui accompagnait la Nouvelle Messe dans tous les pays occidentaux, conviendraient certainement que, presque toujours, celle-ci voit le sens de la messe dans l'assemblée, et non pas dans le sacrifice pour lequel, du moins en théorie, l'assemblée se réunit... Le Professeur Salleron fit remarquer à une occasion [en 1970] que la Nouvelle Messe représentait l'expression liturgique du culte de l'homme... » [1]

Nous avons déjà traité en détail l’acceptation des religions idolâtres par la secte Vatican II. Il nous faut maintenant examiner comment l'homme a remplacé Dieu dans la Nouvelle Messe, et la manière dont ceci se traduit dans les séminaires.
Lex orandi, lex credendi — La Loi de la Prière Novus Ordo correspond à la Loi de la Croyance Novus Ordo, à savoir que l'homme est Dieu
Lex orandi, lex credendi est un principe de l'enseignement catholique, qui signifie simplement que la manière dont l'Église prie, ou rend un culte, reflète ce que croit l'Église. Ceci est tellement vrai que, lorsque les hérétiques protestants se séparèrent de l'Église, ils endoctrinèrent plus efficacement les gens avec les hérésies protestantes (refus de la présence réelle du Christ dans l'Eucharistie, de la Messe comme sacrifice, etc.) en changeant la Messe de façon à refléter leurs nouvelles croyances (p. ex., en considérant l'Eucharistie comme un simple morceau de pain, en supprimant les références au sacrifice, etc.).
On voit la même chose dans la Novus Ordo Missae (la Nouvelle Messe). Concentrons-nous brièvement sur la façon dont la loi de la prière Novus Ordo reflète l'enseignement post-Vatican II (énoncé par Jean-Paul II) que l'homme est Dieu. Même Michael Davies — feu défenseur de la validité de la Nouvelle Messe — reconnaissait clairement que le culte de la Nouvelle Messe est le culte de l'Homme.
Michael Davies, Pope Paul’s New Mass, p. 149 : « Peut-être que le symbole le plus spectaculaire du caractère anthropocentriste [centré sur l’homme] de la nouvelle liturgie est le retournement de l'autel, ou plutôt, son remplacement par une table... L'homme s'est détourné de Dieu pour faire face à ses semblables. Tous les experts en liturgie ne vont pas formellement déclarer qu'ils remplacent le culte de Dieu par le culte de l'homme. Pour certains, c'est un procédé inconscient. Mais tout ceci fait partie d'une tendance qui, même si elle n'est pas déclarée officiellement, est pourtant claire. » [2]

Michael Davies, Pope Paul’s New Mass, p. 141 : « Feu T.S. Grégoire... était très perturbé par les réformes liturgiques post-conciliaires... il avait prévenu : “... Même s’il est impossible d’apporter encore plus de changements à la Messe Catholique sans changer la nature de Dieu... Nous pouvons même penser que le cœur de celle-ci n'est pas le Fils de Dieu sacrifié mais les fidèles rassemblés.” Il s’agissait d’un avertissement prophétique sur la nature de la Nouvelle Messe, telle que définie par ses compilateurs dans le fameux Article 7 : l'essence de la Messe consiste au rassemblement des fidèles. Ceux qui entreprennent la tâche fastidieuse de patauger dans ne serait-ce qu’une fraction de la propagande qui accompagnait la Nouvelle Messe dans tous les pays occidentaux, conviendraient certainement que, presque toujours, celle-ci voit le sens de la messe dans l'assemblée, et non pas dans le sacrifice pour lequel, du moins en théorie, l'assemblée se réunit... Le Professeur Salleron fit remarquer à une occasion [en 1970] que la Nouvelle Messe représentait l'expression liturgique du culte de l'homme... » [3]
Prenez note de cette conclusion importante : d’après la secte Vatican II, le sens de la Nouvelle Messe se trouve dans l’assemblée, parce que son credo est que l’assemblée — l'homme — est maintenant le Christ.
Toute Première Homélie de l’Antipape Jean-Paul II, marquant à jamais le début de son ministère pastoral, dimanche 22 oct. 1978 : « Vous tous qui avez déjà la chance inestimable de croire, vous tous qui encore cherchez Dieu, et vous aussi qui êtes tourmentés par le doute, veuillez accueillir encore une fois, aujourd’hui et en ce lieu sacré, les paroles prononcées par Simon Pierre [Mat. 16 :16]. Ces paroles contiennent la foi de l’Église. Elles contiennent la vérité nouvelle bien plus, la vérité ultime et définitive sur l’homme : le fils du Dieu vivant. “Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant !” » [4]
Ce remplacement de Dieu par l'homme dans la Nouvelle Messe se retrouve également dans le document officiel de Vatican II sur la liturgie (Sacrosanctum concilium).
Constitution Vatican II, Sacrosanctum concilium, sur la sainte Liturgie, n° 14 : « Cette participation pleine et active de tout le peuple est ce qu’on doit viser de toutes ses forces dans la restauration et la mise en valeur de la liturgie. Elle est, en effet, la source première et indispensable à laquelle les fidèles doivent puiser un esprit vraiment chrétien. » [5]
En ce qui concerne cet enseignement, Michael Davies fit ce commentaire :
Michael Davies, Pope Paul’s New Mass, pp. 142-143: « Ce qui importe dans la Messe Tridentine est le respect dû à Dieu, que le sacrifice soit célébré d'une manière appropriée à la majesté de Dieu à Qui il est offert. L'article 14 de la Constitution sur la sainte Liturgie est sans ambiguïté, l'attention doit être centrée sur l’assemblée plutôt que sur Dieu. » [6]
Ainsi, Vatican II enseigne officiellement que, pendant la Messe, l'attention doit être portée sur l'homme plutôt que sur Dieu.

Voilà pourquoi on entend parler de toutes sortes d'abomination dans la Nouvelle Messe, par exemple des messes de clowns, des messes polka, des messes pour enfants, etc., etc., etc., etc., dont la finalité commune est de rendre le culte conforme à l'assemblée — conforme à l'homme, qui est vraiment l'objet de son culte.

Michael Davies, Pope Paul’s New Mass, p. 170 : « ... la caractéristique la plus évidente de la nouvelle liturgie est qu’elle est le Culte de l'Homme plutôt que le Culte de Dieu. L’idée qu'elle voudrait véhiculer le moins possible est que nous sommes dans [ce monde] mais pas de ce monde ; nous tirer de nos vies ordinaires est la dernière chose qu’elle souhaiterait. Le leitmotiv des écrits contemporains sur la [nouvelle] liturgie, est que l’assemblée doit se sentir chez elle pendant la Messe, ce qui est plus facile si l’on s’assure que la liturgie reflète l’environnement social de chacun... Ceci est particulièrement vrai dans le cas des messes pour enfants... [il existe] un Annuaire des Messes pour Enfants... » [7]
Cette adoration de l'homme dans la Nouvelle Messe fut remarquablement immortalisée dans l’article du Boston Globe du 3 avril 1978.

Voici la prière eucharistique de cette « Messe » de Clown Novus Ordo, qui fut célébrée par le Père Joachim Lally :
« Envoie ton Esprit sur ces dons du pain et du vin et sur chacun d’entre nous, afin qu'ensemble nous puissions être le Corps et le Sang vivant, respirant et en mouvement, de Jésus-Christ, Ton Fils et notre Frère. » [8]
Dans cette prière eucharistique de la Messe de Clown Novus Ordo, nous trouvons, et c’est flagrant, l’enseignement que l'homme est le Christ. La prière était que « nous puissions être le Corps et le Sang vivant, respirant et en mouvement, de Jésus-Christ... » ! C’est la doctrine de l'Antéchrist, la dissolution de Jésus en tous (1 Jean 4:2-3). Nous trouvons aussi cette religion de l'homme comme Christ dans une décision qui définit la façon dont ne doit pas être distribuée la « Communion » Novus Ordo.
Michael Davies, Pope Paul’s New Mass, p. 340 : « Beaucoup de lecteurs seront choqués d'apprendre que la hiérarchie américaine est réellement en train de préparer la voie pour faire accepter aux catholiques le concept que le sacrifice de la Messe est celui du Christ offert en vertu de Sa présence dans l’assemblée qui s’offre elle-même. Dans la lettre d’information officielle du Comité des évêques sur la liturgie, fut décidé qu’en distribuant la Sainte Communion un prêtre ne doit pas dire : “Recevez le Corps du Christ” ou “Voici le Corps du Christ.” L’explication donnée est que l’assemblée en elle-même est le Corps du Christ.
« [Déclaration des évêques] : “L'utilisation de l'expression Le Corps du Christ ; Amen, dans le rite de la communion, affirme de façon très efficace la présence et le rôle de la communauté... Le changement pour l’utilisation de l'expression Le Corps du Christ, plutôt que la longue formule utilisée auparavant par le prêtre, a plusieurs répercussions dans le renouveau liturgique. En premier lieu, il cherche à mettre en évidence le concept important de la communauté en tant que corps du Christ...” » [9]
Notez que la déclaration officielle des évêques Novus Ordo stipule qu'un prêtre ne doit pas dire : « Recevez le Corps du Christ » ou « Voici le Corps du Christ » quand il distribue la communion, mais plutôt : « le Corps du Christ, » afin de souligner que le « Corps du Christ » est présent dans la communauté ! C'est le culte de l'homme !
Cette idolâtrie est reflétée par les séminaires Novus Ordo. Dans beaucoup de ces séminaires, la dévotion à ce qu'ils pensent être le Saint-Sacrement [rappelez-vous, comme nous l’avons montré, qu’il n’y a pas de Présence Réelle du Christ dans la Nouvelle Messe] est en fait découragée, puisque ils ne parviennent pas à reconnaître la présence du Christ dans les autres !
Michael Rose, Goodbye, Good Men, p. 121, livre sur les séminaires Novus Ordo : « Le séminariste [Novus Ordo] qui s'agenouille et reçoit la communion sur la langue est coupable de trois choses : le respect, la révérence et la piété, qui indiquent que le séminariste a une compréhension “dépassée” de la Présence Réelle du Christ dans l'Eucharistie. » [10]
Ceux d’entre eux qui s’agenouillent, même devant ce qu'ils pensent être le Saint-Sacrement, sont réprimandés pour leur compréhension « dépassée » de la présence réelle du Christ, c'est-à-dire qu’ils « ne parviennent pas » à « comprendre » que le Christ est présent en tous !
C’est la doctrine de l'Antéchrist, qui a totalement pénétré la secte Vatican II. Et nous en avons fait l’expérience nous-mêmes. Il y a plusieurs années de cela, l'un d’entre nous avait visité un séminaire Novus Ordo dans la région de Philadelphie. La Nouvelle « Messe » y était ridiculement irrévérencieuse et mettait en vedette des séminaristes grattant leurs guitares dans ce qui était plus un concert populaire qu’une Messe. Lorsque la personne en question alla se plaindre à l'un des responsables du séminaire que les pitreries de la « Messe » étaient irrespectueuses du Christ présent dans le Saint-Sacrement (cette personne se trompait à l’époque, n’ayant pas connaissance de l’invalidité de la Nouvelle Messe), le responsable lui répondit : « Mais qu'en est-il du Christ présent dans chaque personne ? »
Michael Rose, Goodbye, Good Men, p. 121: « Sœur Katarina Schuth, du Séminaire états-unien Saint-Paul, dans le Minnesota, explique qu’ “aux étudiants qui accusent la faculté de ne pas soutenir leurs dévotions ou d'aimer le Saint-Sacrement, la faculté répond qu'ils ne font que demander aux élèves de voir aussi le Christ dans les autres...” » [11]
Remarquez comment le Diable insinue subtilement le culte de l'homme sous le faux prétexte du souci des autres. Cacher le mal sous le manteau d'une fausse charité ou d’un faux « amour » a toujours été l’un des moyens les plus efficaces du Diable pour propager l'hérésie et les mensonges.
Ces personnes n’arrivent pas à se rendre compte que le pape Pie XII condamna expressément le fait de confondre le Corps Mystique du Christ (les membres de l'Église) avec le Corps et la Personne de Jésus-Christ.
Pape Pie XII, Mystici Corporis Christi ; 29 juin 1943 : « On en trouve, en effet qui, ne remarquant pas assez que saint Paul n'emploie ici les mots qu'au sens figuré, et ne distinguant pas, comme il le faut absolument, les sens particuliers et propres de corps physique, moral, mystique, introduisent une fausse notion d'unité, quand ils font s'unir et se fondre en une personne physique le divin Rédempteur et les membres de l'Église; et tandis qu'ils accordent aux hommes des attributs divins, ils soumettent le Christ Notre-Seigneur aux erreurs et à l'inclination au mal de l'humaine nature. Ce n'est pas seulement la foi et la doctrine des Pères qui répudient absolument cette doctrine erronée, mais c’est aussi la pensée et l'enseignement de l'Apôtre des Gentils qui, tout en unissant d'un lien merveilleux le Christ et son Corps mystique, les oppose pourtant l'un à l'autre comme l'Époux et l'Épouse. » [12]
Nous conclurons ce chapitre par le récit hallucinant de ce qui s'est passé au Petit Séminaire Novus Ordo de Saint Marc. Cette histoire nous amène au bout de la logique de la doctrine de l'homme en tant que Christ, et nous montre que cette doctrine de l’assemblée comme Christ est la règle dans la Nouvelle Église. Elle illustre à quel point la secte Vatican II, la Nouvelle Messe et les séminaires Novus Ordo sont épouvantablement démoniaques.

Michael Rose, Goodbye, Good Men, p. 166: « L'un des moments les plus mémorables pour Trigilio eut lieu lors d’une étrange bénédiction du service de prière du Saint-Sacrement [à Saint-Marc] dans la chapelle. “Le prêtre prit l’ostensoir”, raconta Trigilio, “et le tenant au niveau de la taille, il se dirigea vers le tabernacle, et remplaça le Saint-Sacrement. Après ça, il prit un pot d'argile qui ressemblait à une urne grecque, la tenant bien plus haut que quand il tenait l'ostensoir ; il la rapporta sur l'autel et la plaça à l'endroit où s’était trouvé le Saint-Sacrement ; ensuite, il encensa le pot et s’agenouilla devant, disant : “Abba, vous êtes le potier, nous sommes l'argile.” Il n'y avait rien dans le pot, mais le prêtre l’encensait et le priait...” D’après Trigilio, il s’agissait de l'attitude d'un grand nombre de personnes de l'équipe de formation à Saint-Marc : en somme, de l’idolâtrie. » [13]
Le culte de l'homme (l'assemblée) en tant que Christ dans la Nouvelle Messe a tellement et complètement consumé ce « prêtre » apostat Novus Ordo, qu'il a adoré le pot d’argile, tout comme il adore l'assemblée du peuple dans la Nouvelle Messe. Et c'est précisément ce en quoi consiste la religion Novus Ordo/Vatican II de Jean-Paul II. Voilà pourquoi l’apostasie interreligieuse d’Assise fut pleinement adoptée par le clergé Vatican II, et pourquoi les chefs religieux, y compris ceux qui rejettent le Christ, furent acceptés. Ils furent invités et acceptés parce que (selon la fausse religion Vatican II) leur dignité d'hommes est plus importante que le fait qu'ils rejettent le Christ.
Donc, l'idolâtrie existe sur trois fronts dans la religion Vatican II : 1) le culte d'un morceau de pain invalidement consacré dans la Nouvelle Messe, puisque la forme de consécration dans la Nouvelle Messe ne remplit pas les conditions pour qu’elle soit valide (comme nous l’avons démontré) ; 2) le culte de l'homme, en conformant la cérémonie à l'assemblée plutôt qu’à Dieu par le retournement de l’autel et beaucoup d'autres choses ; et 3) l'élévation de la dignité de l'homme au-dessus de l'enseignement du Christ, en acceptant de fausses religions humaines en dépit du fait qu'elles contredisent l'enseignement du Christ.
Ce culte de l’homme est l’une des principales explications du fait que « les séminaires » Novus Ordo ne sont qu’un ramassis d’abominations, d’homosexualités et de perversions épouvantables. Comme nous l'avons vu, l’étude des missions catholiques révèle que là où l'idolâtrie est courante (comme dans les territoires de mission entièrement sous le joug de Satan), l'homosexualité est courante. L'idolâtrie de la Nouvelle Messe est un facteur majeur dans la perversion massive des « prêtres » Novus Ordo. De toute évidence, ces faits devraient nous montrer une fois de plus qu’on ne doit jamais assister à la Messe Novus Ordo, quelle qu’en soit la raison, sous peine de péché mortel.
Pape St. Pie X, E supremi apostolatus ; 4 oct. 1903 : « En revanche, et c'est là, au dire du même Apôtre, le caractère propre de l'Antéchrist, l'homme, avec une témérité sans nom, a usurpé la place du Créateur en s'élevant au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu. » [14]
[1] Michael Davies, Pope Paul’s New Mass, Angelus Press, Kansas City, MO, p. 141.
[2] Pope Paul’s New Mass, p. 149.
[3] Pope Paul’s New Mass, p. 141.
[4] Site Vatican, Jean-Paul II, Homélies, Messe d'intronisation du ‘pape’ Jean-Paul II, 22 oct. 1978, vers. français, n° 1, 2.
http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/homilies/1978/documents/hf_jp-ii_hom_19781022_inizio-pontificato_fr.html
L’Osservatore Romano, Éd. anglais, 2 nov. 1978, p. 1.
[5] Site Vatican, Textes fondamentaux, Concile Vatican II, Constitutions, Sacrosanctum concilium, 4 déc. 1963, vers. français, n° 14.
http://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_const_19631204_sacrosanctum-concilium_fr.html
Les Conciles Œcuméniques, Les Décrets, T. II-2, p.1677.
[6] Pope Paul’s New Mass, pp. 142-143.
[7] Pope Paul’s New Mass, p. 170.
[8] Pope Paul’s New Mass, pp. 197-198.
[9] Pope Paul’s New Mass, p. 340.
[10] Michael Rose, Goodbye, Good Men, Regnery Publishing, Inc., Washington, D.C , 2002, p. 121.
[11] Goodbye, Good Men, p. 121.
[12] Pie XII, Lettre encyclique Mystici Corporis Christi, Le Corps Mystique de Jésus-Christ, Bonne Presse, 1943, p. 47.
[13] Goodbye, Good Men, p. 166.
[14] St. Pie X, Enseignements pontificaux, Lettre encyclique de Notre Saint Père le pape Pie X, E Supremi Apostolatus sur la charge de souverain pontife, Éditions Sainte Jeanne d’Arc, Vailly-sur-Sauldre, 1988, p. 7